Jean-Jacques Ferrara entame, après les municipales de 2008 et les cantonales de 2011 où il avait été battu de 80 voix par François Casasoprana, sa troisième campagne.
Il est, cette-fois, aux côtés de Laurent Marcangeli avec lequel il souhaite poser sur le paysage politique de la 1ère circonscription, et, au-delà, la Corse, un regard neuf. Président, depuis octobre dernier, de la section UMP Aiacciu, Jean-Jacques Ferrara nous livre son sentiment sur les élections législatives et les prochaines perspectives d’une droite réunifiée.
Qu’est vous qui vous a décidé à vous engager sur le terrain politique ?
J’étais arrivé à un âge où il m’étais de plus en plus difficile d’être un spectateur passif face à l’actualité politique mais aussi face à la manière avec laquelle les choses étaient menées dans ce domaine. Et le seul moyen, si je voulais apporter ma contribution, c’était de m’investir en politique. Soit, on reste spectateur toute sa vie avec le seul vote pour s’exprimer, ce qui est déjà beaucoup, soit on décide de franchir le pas, c’est ce que j’ai fait.
Vous avez donc débuté sur la scène politique en 2008. Qu’en retenez-vous ?
Suite et source de l’interview
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