(Unità Naziunale – Lutte de masse – publié le 10 septembre 2024) Mardi 6 août 2024, certains de nos militants et sympathisants, dans le Nebbiu, ont été arrêtés à 6h du matin et leurs maisons perquisitionnées.
Une dizaine de gendarmes était présente pour chaque militant. Au-delà des moyens déployés, c’ est le motif de ces interpellations qui interroge voire qui fait sourire. Nos militants se sont retrouvés menottés et placés en garde à vue pour des tags « A maffia fora », « A droga fora », “Massimu sempre Vivu » sur un abribus et un mur de local à poubelles à Oletta. Ces faits remontent à septembre 2023. Une simple convocation n’aurait-elle pas été suffisante pour une histoire qui remonte à près d’un an? Nous nous interrogeons sur les moyens mis en place dans cette affaire futile. S’agit-il d’un moyen pour l’Etat de mettre un coup de pression sur notre mouvement? En effet, lors des gardes à vue, de nombreuses questions ont plus porté sur le fonctionnement de Core In Fronte ou sur les actions militantes aux domiciles de MM.Dupont-Moretti et Attal que sur les faits en eux-mêmes. Courant août, dans les colonnes de Corse Matin, le procureur de Bastia, M.Navarre, interrogé sur son action en Corse indiquait « la persistance de la problématique nationaliste ». Ces propos constituent un délit d’opinion assumé par les délégataires du pouvoir régalien en Corse. Cette petite phrase en dit long sur les errements répressifs à l’encontre de notre organisation et du Mouvement National corse. Non M.Navarre, il n’y pas de problématique nationaliste. La question nationale corse est politique. La répression ne sera jamais une solution. Nous rappelons que ces tags ont été faits le 12 septembre 2023, pour honorer la mémoire de Massimu Susini, lâchement assassiné le 12 septembre 2019. À ce jour, l’enquête n’a connu aucune avancée. À l’heure où la mafia et la drogue gangrènent notre pays, où la justice française est en échec, Il est peut être plus simple, pour certains, de traquer ceux qui luttent contre la drogue que les assassins d’un militant nationaliste. En interpellant des personnes pour de simples tags, le message est clairement celui de l’immunité pour les crapules qui assassinent les patriotes et de la répression pour anéantir une dite problèmatique nationaliste. Dans cette traque, l’Etat peut compter sur l’appui de certains de ses valets locaux qui, en portant plainte et en mettant à disposition les vidéos de surveillance, se rendent complices. Ces mêmes valets locaux qui soutiennent pourtant les diverses majorités territoriales nationalistes depuis 2015…mais connaissent ils seulement les valeurs de la lutte du peuplecorse? Le combat contre la drogue est l’affaire de tous. Nos militants seront jugés le 14 janvier 2025 pour leurs actes et pour avoir refusé tout prélèvement et fichage (Empreintes digitales et ADN). Nous ne cesserons jamais la lutte contre la Drogue! A Droga Fora!
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(Revue de presse – Corsicainfurmazione.org – Publié le 6 aout 2024) Plusieurs militants de Core In Fronte interpellés ce matin. RASSEMBLEMENT ANNULÉ Les 4 personnes viennent de sortir des gendarmeries de Borgu et San Fiurenzu. Elles seront convoquées devant le tribunal de Bastia le 14 janvier 2025.
(Alta Frequenza) En fin de journée, les quatre militants ont été relâchés et devraient comparaître prochainement devant le tribunal correctionnel de Bastia.
(FR3Corse) Trois militants de Core in Fronte interpellés pour des tags à Oletta en 2023.
(Corse Matin) un quatrième homme sera convoqué à la gendarmerie de Saint-Florent en début d’après-midi ce jour pour être entendu dans le cadre de ce dossier.
(Corse Net Infos) Ce mardi 6 août, vers 6 heures du matin, trois militants de Core in Fronte ont été interpellés par la Gendarmerie nationale dans la région du Nebbio.
(RcfM) Un appel au rassemblement après l’arrestation de trois militants Core in Fronte.
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INTERPELLATIONS DANS LE NEBBIU Plusieurs militants et sympathisants de Core in Fronte ont été interpellés ce matin, à 6h, dans le Nebbiu, par la Gendarmerie. Il leur est reproché des tags, en septembre 2023, en mémoire de Massimu Susini, militant assassiné le 12 septembre 2019, et contre la drogue. À l’heure où l’enquête sur la mort de Massimu Susini est à l’arrêt, à l’heure où la société corse est confrontée à l’emprise mafieuse, à l’heure où la drogue infeste de plus en plus notre jeunesse, nos villes et nos villages, la priorité de la justice et de la police françaises reste la traque des militants nationalistes, et de jeunes pères de famille, pour des motifs futiles. Core In Fronte demande la libération immédiate des personnes interpellées. Chjamemu à a mubilisazione. BASTA À A RIPRESSIONE!
Aiutu Paisanu · RASSEMBLEMENT BORGU MARDI 6 AOÛT – 18H 3 militants et sympathisants de Core in Fronte ont été interpellés ce matin, dans le Nebbiu, pour des graffitis survenus en septembre 2023. Ils sont actuellement au camp militaire à Borgu. Une 4e personne est actuellement interrogée à la gendarmerie de San Fiurenzu. Alors que la Corse est en proie au trafic de drogue et à la Maffia, la justice française préfère enquêter sur des pseudos « dégradations aggravées » survenues il y a 1 an. Si les personnes en garde à vue ne sont pas relâchées dans l’après-midi, nous appelons à un rassemblement de soutien, ce soir, au camp militaire de Borgu à 18h. BASTA À A RIPRESSIONE!
Ghjuventù Paolina · 4 militanti naziunalisti, tutti babbi di famiglia, sò stati interrugati stu ghjornu di sei d’aostu. Unu d’elli era membru di a Ghjuventù Paolina durante à sò creazione. Ghjè incuncepibile chè 5 anni dopu à l’assassiniu di Massimu Susini, u statu francese, ch’ùn hà ancù sapiutu truvà i culpevuli di st’attu inumanu; sò sempri nant’à u spinu di militanti sinceri per supposti tag. A milicia culuniale hà fattu a scelta di i sò cumbati, è seremu sempre à fianc’à sta biuccata di corsi chì, elli, anu fattu a scelta di difende e cause chì li toccanu. Sempra contr’à a maffia, sempre contr’à a droga, sempre contr’à u Statu culiniale. STRADDA DIRITTA È CORE IN FRONTE
Patriotti in lotta : Collectif d’anciens prisonniers politiques corses PAR UN SUSTEGNU PATRIOTTICU UNITU ! La Gendarmerie Nationale française est l’une des unités composantes de l’occupation militaire de la Corse. Elle est intervenue ce mardi dans la région du Nebbiu avec des moyens prédisposés à la démonstration de force et à l’intimidation, par des rafles, des arrestations et des mises en garde à vue. Le motif évoqué – des écritures murales –qui en l’occurrence rappelait la mémoire de Massimu Susini, fustigeant le système mafieux qui sévit en Corse. Nous nous interrogeons sur cette action répressive quant à l’objectif recherché. Encore une fois, c’est l’une des organisations publiques de la Lutte de Libération Nationale qui est ciblée. La police et la justice française sont naturellement plus enclines à arrêter des patriotes plutôt que de se pencher réellement sur ce que ces écrits stipulaient. À l’inverse, les séides du système français et leurs méthodes assassines ont de beaux jours devant eux… Dans ce contexte politique marqué par une recrudescence des activités répressives, il appartient au Mouvement National d’y riposter de façon réfléchie et déterminée. Notre démarche s’inscrit dans cet état d’esprit. Tous ensemble affirmons notre soutien aux patriotes interpellés. Tous ensemble affichons notre refus de la répression politique. FORTI UNITI SI UNITI SIMU ! PATRIOTTI IN LOTTA.
A ghjuventù in lotta La politique de répression menée par l’Etat français s’est à nouveau abattue sur les nôtres. Des militants ont été entendus dans le Nebbiu mardi matin. Il leur serait reproché des tags en mémoire de Massimu Susini et dénonçants la maffia. Massimu Susini, militant indépendantiste qui, rappelons le, a été lâchement assassiné ¡I y a cinq ans. L’état français, fait preuve une fois de plus d’injustice à notre égard. Il se montre plus soucieux de stigmatiser des militants sincères plutôt que de lutter efficacement contre les voyous et la drogue qui gangrènent actuellement la société corse. Pour nous, l’Etat, au travers de ces interpellations salit aussi la mémoire de Massimu. Nous apportons donc notre soutien aux militants convoqués le 14 janvier au tribunal de Bastia. A ghjuventù in lotta sarà accant’à vò è luttarà contr’à pulitica di u statu è a so inghjustizia !
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