La « famille » nationaliste en (dés) ordre de marche pour la législative en #Corse #Législatives2024

(Unità Naziunale – Lutte et gestion Institutionnelle – Publié en juin 2024) La Corse n’échappe pas à la règle, pas de front commun ou presque dans la grande famille du mouvement national. Voici les communiqués et infos classés par date.

Les candidats

Candidats première circonscription de Corse du Sud

  • Emmanuelle Dominici, Luc Bernardini, Core In Fronte
  • Romain Colonna, Danielle Antonini, Femu a Corsica
  • Jean-François Luciani, Denis Pinelli, Partitu di a Nazione Corsa, Avanzemu.

Candidats seconde circonscription de Corse du Sud

  • Paul André Colombani, Thérèse Malu-Pellegrinetti, député sortant, Partitu di a Nazione Corsa, Avanzemu.
  • Ghjuvan Battistu Cucchi, Michel Ettori, Core in Fronte

Candidats première circonscription de Haute-Corse

  • Michel Castellani, Juliette Ponzevera, député sortant, Femu a Corsica
  • Batti Lucciardi, BATTESTINI Serena, Core in Fronte

Candidats  seconde circonscription de Haute-Corse

  • Jean Félix Acquaviva, Marie-Jeanne Andreani, député sortant, Femu a Corsica
  • Carli Antò , Tony Santini, Core in Fronte

Communiqués de presse et informations de campagne

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(Unità Naziunale – Publié le lundi 3 juillet 2024) Le STC Corsica Linea lance à son tour un appel à faire barrage au RNsur ce lien.

(Unità Naziunale – Publié le lundi 3 juillet 2024) Associu Aiutu Patriotticu CHJAMA Tempi scuri anu da vene pè u populu corsu è e vittime di a ripressione pulitica. Pè l’avvene di u nostru populu, Pè i nostri zitelli, Pè i nostri Patriotti, Contr’à u fascisimu, Dumenica, manc’un votu pè u RN è i so alleati, nemichi di a nostra lotta!

Core in Fronte remercie les 8000 électeurs qui ont apporté leurs suffrages sur nos candidats, le 30 juin, lors du 1er tour des élections Législatives. Core In Fronte, qui se présentait pour la première fois à ce type d’élection, et dans un contexte de campagne électorale courte, affirme, ainsi, un ancrage et une assise populaire sur l’ensemble de la Corse. Dès l’annonce de la dissolution de l’Assemblée Nationale française, par Emmanuel Macron, et devant la montée du vote RN en Corse aux élections Européennes, nous avons pris la mesure des enjeux politiques. Avant le 1er tour, Core In Fronte avait fait un appel public à l’ensemble du Mouvement National pour aborder ces élections Législatives de manière unitaire, afin que l’idée nationale corse reste la force motrice de l’émancipation du peuple corse. Notre appel n’a pas été entendu pour des considérations politiciennes. Ces élections Législatives sont dans la continuité des élections Européennes. Les électeurs ont sanctionné la Macronie. Dans ce débat, les revendications politiques du peuple corse, pour son émancipation, sont passées totalement à la trappe. La Corse a été enfermée dans un débat franco-français. Dans ce contexte, le résultat du 1er tour des Législatives a vu des colons Français, parachutés ou fraîchement installés sur l’île, recueillir des milliers de suffrages. Des Corses et des Français se sont rangés derrière l’idéologie du RN, qui est aux antipodes de nos valeurs et opposée à nos revendications historiques pour l’émancipation nationale du peuple corse. Ce phénomène nouveau pose le problème du corps électoral légitime, d’un peuple qui devient minoritaire sur sa terre mais aussi d’un néo vote décomplexé dans un contexte général de dégagisme des élus en place. Il constitue, au regard des scores en demi-teinte des députés nationalistes sortants et au-delà des partis, un avertissement majeur pour l’ensemble des nationalistes corses. Nous ne sommes pas, toutefois, de ceux qui considèrent que la majorité des Corses sont des factieux ou des fachistes. Il y a dans ce vote une forte part de mécontentement. Il témoigne, aussi, probablement, de l’échec du Mouvement National et des différentes majorités territoriales nationalistes au pouvoir depuis 2015, Per a Corsica (Femu-PNC-Corsica Libera) et Fà Populu Inseme (Femu). La victoire de 2015 était historique car elle concrétisait 50 ans de poussée nationaliste en Corse. Mais, aujourd’hui, en 9 ans, aucun résultat palpable n’a été observé par les Corses sur les grands dossiers : la gestion des déchets, la question des ressources en eau, la vie chère, les monopoles qui écrasent financièrement les Corses, les transports, la grande distribution, les carburants, la lutte contre la spéculation immobilière… Core In Fronte l’a toujours dit : les nationalistes au pouvoir ne sont pas là pour gérer le système, ils sont là pour transformer la société. Le Mouvement National, dans sa globalité, doit répondre à l’attente des Corses. Il doit être un moteur de changement et d’espoir. Dans les semaines et mois à venir, il faudra créer des conditions nouvelles, pour un véritable projet de société et un programme politique cohérent en vue d’une vraie solution politique globale en Corse. À ce titre, nous avons rencontré les responsables de Femu a Corsica et du PNC, mardi 2 juillet à Bastia et Ghisunaccia. Nous leur avons demandé une remise en cause collective et un sursaut patriotique unitaire nécessaire, afin de rentrer en rupture et en résistance collective. Ils s’y sont engagés. Nous jugerons sur acte. Core In Fronte prendra une initiative politique majeure en ce sens et sera amené à rencontrer d’autres partis et syndicats nationalistes. Pour le second tour du 7 juillet, devant l’urgence de la situation, Core In Fronte appelle à un sursaut patriotique et à un vote pour les 3 candidats nationalistes, Michel Castellani, Jean-Félix Acquaviva et Paul-André Colombani, encore en lice. Dans la 1ère circonscription de Corse-du-Sud, aucune voix ne doit aller au RN. A FRANCIA FORA

(Unità Naziunale – Publié le lundi 2 juillet 2024) Le STC prend position sur le second tour pour appeler à voter contre le RN sur ce lien

(Unità Naziunale – Publié le lundi 1er juillet 2024) Paul-André Colombani · Compte tenu de la gravité de la situation, nous devons être à la hauteur des enjeux et constituer un bloc central rassemblant tous les nationalistes et les progressistes de droite et de gauche. J’appelle solennellement à voter pour Jean Félix Acquaviva, Michel Castellani et Laurent Marcangeli.

Ghjuventù Indipendentista se positionne pour « barrer la route à une idéologie aux antipodes de la notre » sur ce lien.

Ghjuventù Libera se positionne sur un renforcement des trois axes de la LLN sur ce lien

SOURCE PHOTOS –> https://x.com/Corse_Matin/status/1807512255069934074

 

(Unità Naziunale – Publié le lundi 27 juin 2024) Après des décennies de lutte pour faire reconnaître leurs droits légitimes, les Corses qui ont gagné toutes les élections depuis 2015 et qui en ont vu les résultats foulés aux pieds par les différents gouvernements, ne peuvent raisonnablement participer aux élections législatives actuelles . Quels qu’en soient les résultats, la fièvre néo coloniale qui anime les représentants parisiens et qui les a fait voter majoritairement pour une recolonisation de la Kanaky contre tous les accords et les engagements pris par la France depuis quarante ans, ne permet en aucun cas aux patriotes corses de se mêler à cette foire d’empoigne pour sauver le siège de quelques députés. La situation aujourd’hui , on le voit, est marquée par des évènements à la fois inquiétants et dramatiques, dont la concomitance ne doit sans doute rien au hasard. En fait, tout est lié: la dérive totalitaire et répressive d’un vieil empire décadent dans ses colonies, ainsi que la dévastation de l’espace politique sur son propre territoire. L’échéance électorale de ces législatives, imposée par les fluctuations erratiques de la vie politique française, n’intéresse en Corse que les partis d’obédience française ou ceux qui, au delà des artifices de communication, ont inscrit leur démarche dans une feuille de route dictée unilatéralement par Paris; quant à nous, nous rejetons toujours la signature d’un document qui tournait le dos à une véritable autonomie et obérait l’avenir. Sa rédaction et sa validation engagent exclusivement ceux qui continuent à feindre l’existence d’un processus qui, en tout état de cause, n’était qu’une manœuvre de plus pour nous imposer un destin irrémédiablement français. Et qu’on ne nous parle pas de « paralysie des projets pour la Corse » à l’occasion des turbulences actuelles: comment pourrait-on paralyser ce qui est au point mort? La Corse, elle, n’a nullement besoin d’un nouveau programme commun de la gauche française niant notre réalité de peuple et de nation, ni d’un régionalisme « identitaire » calqué sur une extrême droite, bien française elle aussi, qui nous a toujours été opposée et qui nous ravale au rang de sous-peuple ou de communauté vouée à une infâme mise sous tutelle. Pas plus qu’elle ne trouvera de salut dans l’action politicienne d’une droite, très française toujours, qui ouvre la voie à une « désanctuarisation » programmée de notre terre et au diktat des forces de l’argent qui dépossèdent chaque jour un peu plus les Corses dans leur propre pays. Quant à la marée noire qui est sur le point de submerger la France et qui nous renvoie aux heures les plus sombres de l’Histoire contemporaine, elle trouvera toujours en nous une force de résistance qui l’empêchera, malgré ses velléités actuelles, de s’implanter dans notre pays et d’y répandre son venin. Face à cette situation grave et délétère, certains se contentent de privilégier une « pulitichella » surréaliste, en décalage total avec les enjeux du moment. En réalité, ce dont la Corse a besoin, plus que jamais, c’est d’un mouvement national fort dans toutes ses composantes, ainsi que de contre-pouvoirs dont l’Assemblée de Corse doit faire partie. Et d’un grand projet national, véritable alternative à la dépendance qui nous ruine et nous détruit en tant que peuple, de moins en moins lentement, de plus en plus sûrement. Répondre en permanence aux injonctions et aux caprices de la puissance tutélaire, montrer « patte blanche » en espérant récolter les quelques miettes qu’elle voudra bien donner à ceux qui se seront laissés circonvenir, est non seulement éthiquement critiquable, mais c’est aussi la façon la plus sûre de ne rien obtenir pour notre peuple. Il n’y a, de notre point de vue, aucune raison de cautionner cette triste mascarade, en acceptant le principe d’une élection précipitée dont l’arbitrage ne se fera que d’un point de vue franco-français, et dont les enjeux tournent le dos aux intérêts vitaux de notre nation. Notre présence sur un terrain institutionnel qu’il convient d’occuper dans le cadre d’une lutte globale et cohérente, répond au tempo d’une Lutte de Libération Nationale que pour notre part nous n’abandonnerons jamais. Jusqu’à la victoire d’un peuple libre et souverain dans son pays. Pour notre part nous considérons que la dérive sécuritaire d’un gouvernement qui pratique la politique du bouc émissaire à l’intérieur comme à l’extérieur, sa négation des valeurs démocratiques, sa résurgence colonialiste et son mépris de classe pour les plus démunis, ne sont pas de bon augure pour une solution politique au problème corse. Nazione rappelle ses revendications les plus immédiates : la reconnaissance de notre peuple qu’une conquête aussi injuste que sanglante n’est pas parvenu à faire disparaître ; la protection et la promotion de notre identité culturelle, linguistique et environnementale ; le rattrapage historique de notre développement ainsi que le rétablissement de nos équilibres sociaux et économiques ruinés par le fait colonial et qui ne cessent de se détériorer. C’est dire que nous avons conscience que, dans cette situation où les conflits s’aggravent autour de l’Europe, notre participation à une mascarade électorale déclenchée par un gouvernement en perdition ne résoudraient en rien le contentieux séculaire que nous avons avec Paris. Seule une démarche politique commune à tous les Corses qui se reconnaissent dans leur patrie, peut nous faire entendre de la Communauté internationale. C’est bien au siège des Nations Unies que nous devons faire entendre notre démarche d’accès à une souveraineté légitime au sein du Monde méditerranéen qui est notre milieu géohistorique naturel. La Corse doit s’extraire de ce tête à tête mortifère avec l’Etat français et son système politique qui parachèverait à très court terme la minoration de notre peuple sur sa terre et, in fine, sa disparition programmée. Entre temps, cinquante ans de lutte auraient été captés par des « héritiers » putatifs rentrés dans une logique de soumission à la France et tendant la sébile pour assoir un pouvoir qui n’en est pas un. Nous ne l’accepterons pas. Notre action actuelle au niveau international et notre présence à New York au siège de l’ONU la semaine dernière s’inscrivent résolument dans cette démarche pragmatique qui vise à aboutir à une résolution politique de la question nationale corse, passant par le respect du droit international et un processus de décolonisation indépendant des changements de gouvernement français. Car, comme le fait remarquer notre ami Mickaël Forrest, ministre calédonien, « que ce soit un État qui est géré par une majorité de gauche, de droite ou du centre, ça reste quelque part l’État colonial. » Et pour la Corse aussi, le seul combat qui vaille, au regard de notre Histoire et du principe des peuples à disposer d’eux-mêmes, est celui que nous saurons mener en totale synergie avec les peuples frères sous domination française, poursuivant la marche vers l’indépendance nationale.

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(Unità Naziunale – Publié le lundi 26 juin 2024) APC Associu di i Parenti Corsi : Election juin 2024 communiqué L’APC est et reste indépendante de tout mouvement, parti ou association. Elle œuvre depuis sa création, dans le prolongement de la revendication nationale, sur le terrain social et éducatif, pour l’épanouissement des jeunes corses, pour la défense de la langue corse et en conséquence pour l’autonomie de l’île. C’est pourquoi l’ APC appelle l’ensemble des Corses à voter pour tous les nationalistes qui s’impliquent, dans le cadre des négociations en cours, à promouvoir un statut d’autonomie de la Corse avec notamment : un statut spécifique du système éducatif prenant en compte la coofficialité de la langue et l’enseignement de l’histoire de la Corse. Enfin l’ APC est pour la reconnaissance du peuple corse comme seule communauté de droit sur l’île. Aussi, dans la continuité de la vision de Pasquale Paoli, il est nécessaire de faire barrage à la montée de tous les extrêmes.

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(Unità Naziunale – Publié le lundi 26 juin 2024) NON AU PROJET DE CENTRE D’ENFOUISSEMENT DES DECHETS À GHJUNCAGHJU Réponse des candidat Core in Fronte, Antò Carli, et Tony Santini, dans la 2e circonscription de Haute Corse, au collectif Tavignanu Vivu. « 𝘔𝘰𝘯 𝘤𝘰𝘭𝘪𝘴𝘵𝘪𝘦𝘳, 𝘛𝘰𝘯𝘺 𝘚𝘢𝘯𝘵𝘪𝘯𝘪, 𝘦𝘵 𝘮𝘰𝘪 𝘮ê𝘮𝘦, 𝘈𝘯𝘵ò 𝘊𝘢𝘳𝘭𝘪, 𝘷𝘰𝘶𝘴 𝘳𝘦𝘮𝘦𝘳𝘤𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘷𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘲𝘶𝘦𝘴𝘵𝘪𝘰𝘯, 𝘢𝘥𝘳𝘦𝘴𝘴é𝘦 à 𝘭’𝘦𝘯𝘴𝘦𝘮𝘣𝘭𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘤𝘢𝘯𝘥𝘪𝘥𝘢𝘵𝘴 𝘢𝘶𝘹 é𝘭𝘦𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴 𝘓é𝘨𝘪𝘴𝘭𝘢𝘵𝘪𝘷𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘭𝘢 2𝘦 𝘤𝘪𝘳𝘤𝘰𝘯𝘴𝘤𝘳𝘪𝘱𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘏𝘢𝘶𝘵𝘦 𝘊𝘰𝘳𝘴𝘦. 𝘑𝘦 𝘴𝘢𝘭𝘶𝘦, 𝘢𝘶𝘴𝘴𝘪, 𝘭’𝘢𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘲𝘶𝘰𝘵𝘪𝘥𝘪𝘦𝘯𝘯𝘦 𝘦𝘵 𝘴𝘰𝘶𝘵𝘦𝘯𝘶𝘦, 𝘥𝘦𝘱𝘶𝘪𝘴 𝘥𝘦𝘴 𝘢𝘯𝘯é𝘦𝘴, 𝘥𝘦 𝘷𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘤𝘰𝘭𝘭𝘦𝘤𝘵𝘪𝘧 𝘤𝘪𝘵𝘰𝘺𝘦𝘯, 𝘢𝘶𝘲𝘶𝘦𝘭 𝘫’𝘢𝘱𝘱𝘰𝘳𝘵𝘦 𝘶𝘯 𝘴𝘰𝘶𝘵𝘪𝘦𝘯 𝘴𝘢𝘯𝘴 𝘧𝘢𝘪𝘭𝘭𝘦. 𝘕𝘰𝘵𝘳𝘦 𝘮𝘰𝘶𝘷𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵, 𝘊𝘰𝘳𝘦 𝘐𝘯 𝘍𝘳𝘰𝘯𝘵𝘦, 𝘢 𝘵𝘰𝘶𝘫𝘰𝘶𝘳𝘴 é𝘵é à 𝘷𝘰𝘴 𝘤ô𝘵é𝘴. 𝘑𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘧𝘦𝘳𝘮𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘰𝘱𝘱𝘰𝘴é à 𝘭𝘢 𝘤𝘳é𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦 𝘤𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘫𝘦𝘵 𝘥𝘦 𝘤𝘦𝘯𝘵𝘳𝘦 𝘥’𝘦𝘯𝘧𝘰𝘶𝘪𝘴𝘴𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘥𝘦𝘴 𝘥é𝘤𝘩𝘦𝘵𝘴 à 𝘎𝘩𝘫𝘶𝘯𝘤𝘢𝘨𝘩𝘫𝘶, 𝘲𝘶𝘪 𝘴𝘦 𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷𝘦 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘶𝘯𝘦 𝘻𝘰𝘯𝘦 𝘕𝘢𝘵𝘶𝘳𝘢 2000. 𝘌𝘯 𝘦𝘧𝘧𝘦𝘵, 𝘤𝘦 𝘊𝘌𝘛 𝘢𝘶𝘳𝘢𝘪𝘵 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘤𝘰𝘯𝘴é𝘲𝘶𝘦𝘯𝘤𝘦 𝘱𝘳𝘦𝘮𝘪è𝘳𝘦 𝘦𝘵 𝘮𝘢𝘫𝘦𝘶𝘳𝘦, 𝘴𝘶𝘳 𝘤𝘦𝘴 𝘵𝘦𝘳𝘳𝘦𝘴 𝘪𝘯𝘴𝘵𝘢𝘣𝘭𝘦𝘴, 𝘥𝘦 𝘨é𝘯é𝘳𝘦𝘳 𝘪𝘮𝘮𝘢𝘯𝘲𝘶𝘢𝘣𝘭𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘱𝘰𝘭𝘭𝘶𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘧𝘰𝘳𝘵𝘦 𝘦𝘵 𝘶𝘯 𝘳𝘪𝘴𝘲𝘶𝘦 𝘴𝘢𝘯𝘪𝘵𝘢𝘪𝘳𝘦 𝘴𝘶𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘳𝘦𝘴𝘴𝘰𝘶𝘳𝘤𝘦𝘴 𝘦𝘯 𝘦𝘢𝘶 𝘱𝘰𝘵𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘰𝘱𝘶𝘭𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯𝘴. 𝘜𝘯𝘦 𝘴𝘪𝘵𝘶𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘪𝘯𝘢𝘤𝘤𝘦𝘱𝘵𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘢𝘭𝘰𝘳𝘴 𝘮ê𝘮𝘦 𝘲𝘶𝘦 𝘭𝘢 𝘊𝘰𝘳𝘴𝘦 𝘴𝘶𝘣𝘪𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘱é𝘯𝘶𝘳𝘪𝘦 𝘦𝘯 𝘦𝘢𝘶 𝘦𝘯 𝘳𝘢𝘪𝘴𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘴 𝘦𝘧𝘧𝘦𝘵𝘴 𝘥𝘶 𝘤𝘩𝘢𝘯𝘨𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘤𝘭𝘪𝘮𝘢𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦. 𝘋𝘢𝘯𝘴 𝘭𝘢 𝘤𝘪𝘳𝘤𝘰𝘯𝘴𝘤𝘳𝘪𝘱𝘵𝘪𝘰𝘯, 𝘤𝘦𝘭𝘢 𝘦𝘴𝘵 𝘯𝘰𝘵𝘢𝘮𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘷𝘪𝘴𝘪𝘣𝘭𝘦 𝘱𝘢𝘳 𝘭𝘢 𝘴𝘪𝘵𝘶𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘢𝘤𝘵𝘶𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘥𝘶 𝘣𝘢𝘳𝘳𝘢𝘨𝘦 𝘥’𝘈𝘭𝘪𝘴𝘨𝘪𝘢𝘯𝘪 𝘲𝘶𝘪 𝘦𝘴𝘵 𝘲𝘶𝘢𝘴𝘪𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘷𝘪𝘥𝘦 : 𝘶𝘯𝘦 𝘴𝘪𝘵𝘶𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘱𝘳é𝘫𝘶𝘥𝘪𝘤𝘪𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘦𝘴 𝘩𝘢𝘣𝘪𝘵𝘢𝘯𝘵𝘴 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘱𝘭𝘢𝘪𝘯𝘦 𝘰𝘳𝘪𝘦𝘯𝘵𝘢𝘭𝘦 𝘮𝘢𝘪𝘴 𝘢𝘶𝘴𝘴𝘪 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘵𝘰𝘶𝘵 𝘥é𝘷𝘦𝘭𝘰𝘱𝘱𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵 𝘥’𝘶𝘯𝘦 𝘷é𝘳𝘪𝘵𝘢𝘣𝘭𝘦 𝘢𝘨𝘳𝘪𝘤𝘶𝘭𝘵𝘶𝘳𝘦 𝘥𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘥𝘶𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘱𝘰𝘶𝘳 𝘭𝘢 𝘊𝘰𝘳𝘴𝘦 𝘱𝘢𝘳 𝘯𝘰𝘴 𝘢𝘨𝘳𝘪𝘤𝘶𝘭𝘵𝘦𝘶𝘳𝘴. 𝘕𝘰𝘶𝘴 𝘥𝘦𝘷𝘰𝘯𝘴 𝘵𝘰𝘶𝘴 𝘯𝘰𝘶𝘴 𝘺 𝘰𝘱𝘱𝘰𝘴𝘦𝘳. 𝘑𝘦 𝘤𝘰𝘯𝘴𝘵𝘢𝘵𝘦, 𝘶𝘯𝘦 𝘧𝘰𝘪𝘴 𝘦𝘯𝘤𝘰𝘳𝘦, 𝘲𝘶’𝘢𝘷𝘦𝘤 𝘤𝘦 𝘱𝘳𝘰𝘫𝘦𝘵 𝘥𝘦 70000 𝘵𝘰𝘯𝘯𝘦𝘴 𝘥’𝘰𝘳𝘥𝘶𝘳𝘦𝘴 𝘮é𝘯𝘢𝘨è𝘳𝘦𝘴 𝘴𝘶𝘳 30 𝘢𝘯𝘴 𝘦𝘵 105000 𝘵𝘰𝘯𝘯𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘵𝘦𝘳𝘳𝘦𝘴 𝘦𝘵 𝘥é𝘤𝘩𝘦𝘵𝘴 𝘢𝘮𝘪𝘢𝘯𝘵𝘪𝘧è𝘳𝘦𝘴 𝘴𝘶𝘳 13 𝘢𝘯𝘴, 𝘤’𝘦𝘴𝘵 𝘶𝘯𝘦 𝘯𝘰𝘶𝘷𝘦𝘭𝘭𝘦 𝘧𝘰𝘪𝘴 𝘭𝘦 𝘳𝘶𝘳𝘢𝘭 𝘲𝘶𝘪 𝘦𝘴𝘵 𝘪𝘮𝘱𝘢𝘤𝘵é. 𝘕𝘰𝘴 𝘷𝘪𝘭𝘭𝘢𝘨𝘦𝘴 𝘯’𝘰𝘯𝘵 𝘱𝘢𝘴 𝘷𝘰𝘤𝘢𝘵𝘪𝘰𝘯 à ê𝘵𝘳𝘦 𝘭𝘦 𝘳é𝘤𝘦𝘱𝘵𝘢𝘤𝘭𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘱𝘰𝘶𝘣𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘊𝘰𝘳𝘴𝘦. 𝘌𝘯𝘧𝘪𝘯, 𝘭𝘢 𝘲𝘶𝘦𝘴𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘦𝘴 𝘥é𝘤𝘩𝘦𝘵𝘴 𝘦𝘴𝘵 𝘭’𝘶𝘯𝘦 𝘥𝘦𝘴 𝘳𝘢𝘳𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘮𝘱é𝘵𝘦𝘯𝘤𝘦𝘴 𝘢𝘤𝘵𝘶𝘦𝘭𝘭𝘦𝘴 𝘥𝘦 𝘭𝘢 𝘊𝘰𝘭𝘭𝘦𝘤𝘵𝘪𝘷𝘪𝘵é 𝘥𝘦 𝘊𝘰𝘳𝘴𝘦, 𝘴𝘢𝘯𝘴 𝘲𝘶’𝘢𝘶𝘤𝘶𝘯𝘦 𝘴𝘰𝘭𝘶𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘱𝘰𝘭𝘪𝘵𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘱𝘶𝘣𝘭𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘱é𝘳𝘦𝘯𝘯𝘦 𝘯’𝘢𝘪𝘵 é𝘵é 𝘵𝘳𝘰𝘶𝘷é𝘦 𝘥𝘦𝘱𝘶𝘪𝘴 𝘥𝘦 𝘯𝘰𝘮𝘣𝘳𝘦𝘶𝘴𝘦𝘴 𝘢𝘯𝘯é𝘦𝘴. 𝘊𝘦 𝘧𝘭𝘰𝘶 𝘦𝘵 𝘤𝘦 𝘮𝘢𝘯𝘲𝘶𝘦 𝘥’𝘢𝘤𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘱𝘶𝘣𝘭𝘪𝘲𝘶𝘦 𝘢𝘵𝘵𝘪𝘴𝘦𝘯𝘵 𝘢𝘶𝘫𝘰𝘶𝘳𝘥’𝘩𝘶𝘪 𝘵𝘰𝘶𝘴 𝘭𝘦𝘴 𝘱𝘳𝘰𝘫𝘦𝘵𝘴 𝘴𝘱é𝘤𝘶𝘭𝘢𝘵𝘪𝘧𝘴 𝘦𝘵 𝘭𝘦𝘴 𝘪𝘯𝘵é𝘳ê𝘵𝘴 𝘮𝘢𝘧𝘪𝘦𝘶𝘹. 𝘗𝘰𝘶𝘳 𝘮𝘢 𝘱𝘢𝘳𝘵, 𝘫𝘦 𝘴𝘶𝘪𝘴 𝘧𝘢𝘷𝘰𝘳𝘢𝘣𝘭𝘦 à 𝘭𝘢 𝘥𝘪𝘴𝘴𝘰𝘭𝘶𝘵𝘪𝘰𝘯 𝘥𝘶 𝘚𝘺𝘷𝘢𝘥𝘦𝘤, 𝘲𝘶𝘪 𝘢 é𝘤𝘩𝘰𝘶é 𝘥𝘢𝘯𝘴 𝘴𝘦𝘴 𝘮𝘪𝘴𝘴𝘪𝘰𝘯𝘴, 𝘦𝘵 𝘭𝘦 𝘵𝘳𝘢𝘯𝘴𝘧𝘦𝘳𝘵 𝘥𝘦 𝘴𝘦𝘴 𝘤𝘰𝘮𝘱é𝘵𝘦𝘯𝘤𝘦𝘴 à 𝘭’𝘖𝘧𝘧𝘪𝘤𝘦 𝘥𝘦 𝘭’𝘌𝘯𝘷𝘪𝘳𝘰𝘯𝘯𝘦𝘮𝘦𝘯𝘵. »

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(Unità Naziunale – Publié le lundi 24 juin 2024) CORE IN FRONTE s’engage dans ces élections pour affirmer sa volonté d’impulser un changement en profondeur au sein de la société corse, dans la continuité des acquis de la lutte du peuple corse. Ces élections législatives anticipées des 30 juin et 7 juillet 2024 se déroulent dans un contexte de crise politique au niveau Corse, Français et mondial. Nous cherchons par la constance et la sincérité de notre engagement à donner aux Corses une perspective d’émancipation dans une société juste, généreuse et socialement avancée. Nous continuerons à affirmer la légitimité des droits historiques du peuple corse. Nous nous opposerons à l’inexorable aggravation des inégalités sociales, à la loi de l’argent, aux monopoles, à la mondialisation ultralibérale, aux néo-populismes et à l’enracinement d’une mafia. Core in Fronte a toujours été présent pour soutenir les Corses dans leurs problèmes quotidiens, aussi, nous serons avec vous pour : Refuser l’émergence d’une Corse inégalitaire, paupérisée, déstructurée et pour affirmer un projet de société qui engagera durablement la Corse vers un développement productif cohérent, une juste répartition des richesses, la perpétuation de notre culture et la fin de la dépossession foncière. Développer nos richesses dans une logique de développement durable soucieuse des préservations environnementales S’opposer à la désertification rurale Impulser une politique de santé efficiente en Corse qui passe par la création d’un CHU Favoriser un accès au logement généralisé  Renforcer le pouvoir d’achat • Ancrer la Corse dans un espace méditerranéen en paix. CORE IN FRONTE soutient une solution politique qui portera la Corse à un niveau d’émancipation comparable à celui des îles méditerranéennes avec un pouvoir législatif et des compétences exclusives dans les domaines de l’éducation, de la culture, de la santé, de l’agriculture, de l’environnement, du tourisme, de l’aménagement du territoire, des transports, de l’énergie, des déchets, de la gestion des politiques d’accueil et de la fiscalité. Cette solution doit aussi inclure un pacte qui acte la fin de la répression. PURTEREMUA VOCE DI U POPULU CORSU, VUTEMU PER I CANDIDATE È CANDIDATI DI CORE IN FRONTE !

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« Un solu votu, quellu di a Nazione » – #corse

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(Unità Naziunale – Publié le lundi 19 juin 2024) Conférence de presse de Core in Fronte, ce matin à Peri, pour présenter ses candidats à l’élection Législative.

Notre présence participe de l’analyse que nous avons faite des récentes élections au Parlement européen, du nouveau contexte politique international, qui s’en est dégagé, et des conséquences de la dissolution de l’Assemblée Nationale française qui s’en est suivie. Ces éléments ne sont pas sans conséquence sur le dialogue en cours, portant sur l’autonomie pour la Corse. Ils ont d’autant plus d’importance qu’ils mettent en évidence une poussée importante des populismes et de l’immobilisme, particulièrement opposés aux revendications historiques du peuple corse, à sa lutte et à ses droits. Face à cette nouvelle situation, nous avons proposé aux forces principales du Mouvement National, une convergence politique, selon le respect de la diversité et du pluralisme. Cette proposition était, selon nous, la meilleure des réponses, attendue et souhaitée par les forces vives de notre peuple. Elle était redoutée par les tenants de la dépendance et de l’inertie systémique. Les calculs politiciens, des uns , et la tétanie politique, des autres, ont eu raison de cette aspiration populaire. Nous avons donc décidé d’occuper ce moment politique, selon l’esprit de lutte qui nous anime, que nul ne peut démentir, et dans la perspective d’occuper tous les terrains, y compris ceux du système dominant en place. Par cette présence, nous entendons faire entendre et développer nos propositions. Nous devons replacer la Corse et les Corses, selon leur situation, leurs attentes, leurs espoirs, au cœur des débats et des perspectives d’avenir. Le dialogue sur l’autonomie, que nous entendons impulser selon de nouvelles règles, ne saurait être vidé de tout son potentiel ni dévié de sa finalité politique initiale pour, simplement, tenter de le maintenir à flot alors même qu’il semble être potentiellement à bout de souffle. Il suppose d’être relancé avec force et détermination pour aboutir à des négociations sur une véritable solution politique globale et un droit, à termes, à l’autodétermination. L’enjeu est, certes pour nous, dans cette conjoncture électorale, de faire valoir les droits historiques du peuple corse. Dans le contexte actuel, nous devons nous opposer à la mondialisation libérale, à la dépossession foncière, à la précarisation des couches populaires les plus défavorisées, aux atteintes patrimoniales et environnementales, à la mise en coupe réglée de la société et à sa maffiosisation planifiée, à la destruction de notre tissu communautaire, social et culturel. Dans cette perspective, les enjeux sociétaux de notre siècle sont tout aussi importants que l’autonomie, qui doit, dès lors, transcender son seul aspect institutionnel.

Pour cette campagne, nous avons désigné les candidates et candidats suivants :

  • Circonscription 1 – Corse du Sud : Emmanuelle Dominici et Luc Bernardini.
  • Circonscription 2 – Corse du Sud : Jean Baptiste Cucchi et Michel Ettori.
  • Circonscription 1 – Haute-Corse : Jean-Baptiste Lucciardi et Serena Battestini.
  • Circonscription 2 – Haute-Corse : Antoine Carli et Tony Santini.

Nous appelons tous les indépendantistes corses, au-delà tous les patriotes et avec eux tous les corses, soucieux du sort imposé à notre peuple, à renforcer notre démarche dans le cadre de ces élections. Ce vote est politique et philosophique qui ne souffre d’aucune démagogie, d’aucun retournement et d’aucune trahison. Il est celui de la Corse libre. Il s’inscrit dans une optique de lutte qui privilégie la résistance et la construction, la mobilisation populaire, la démocratie directe et quotidienne. Ce vote sera celui de l’adhésion à l’avenir et à l’espérance. PAR A CORSICA! PAR U SO SPANNAMENTU SUCIALI! PAR A PACI E PAR A SO LIBARTÀ! OGHJI CUSCENZA E DUMANI MAESTRIA PAISANA! VUTEMU CORI IN FRONTI!

(Unità Naziunale – Publié le lundi 19 juin 2024) Cari amichi, Je me présente aujourd’hui aux élections législatives des 30 juin et 7 juillet prochains en tant que suppléant de Emmanuelle Dominici et sous la bannière de Core in Fronte, dans la 1ère circonscription de Corse du sud. Je suis fier de pouvoir épauler Emmanuelle dans ce nouveau combat. Nous nous engageons en tant que militants responsables et conscients avec toute la force de nos convictions, comme nous l’avons toujours fait. Nous porterons, comme toujours, sur le terrain, les valeurs qui nous animent, sans concession et toujours dans l’intérêt de la Corse et de l’émancipation de son peuple. Nous ne sommes pas des professionnels de la politique et ne pouvons vous promettre que la sincérité de notre engagement.

  • Pour le respect et l’affirmation de nos droits individuels et collectifs;
  • Pour la justice sociale et la répartition des richesses;
  • Pour le maintien des services publics;
  • Pour le droit à la santé pour tous avec la création d’un CHU;
  • Pour une agriculture productive et la souveraineté alimentaire;
  • Pour le droit à l’enseignement prioritaire de notre langue et à notre culture;
  • Pour une régulation maîtrisée des mouvements migratoires et une politique d’insertion et d’intégration adéquate, basée sur nos valeurs.
  • Pour la reconnaissance de nos droits nationaux et du droit à l’autodétermination;
  • Pour une Méditerranée des peuples libres, souverains ;
  • Pour une Europe sociale des peuples et nations libres.

Sempre Strada diritta è Core in Fronte, purteremu u nostru cumbattu indipendentistu nant’à tutti i terreni di lotta. U feremu per voi, u feremu cun voi ! U 30 ghjugnu vuttemu pè i diritti di u populu corsu, vuttemu Core in Fronte Vuttemu Manue DOMINICI ! Datteci a Forza ✊✊

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(Unità Naziunale – Publié le lundi 18 juin 2024) Batti Lucciardi et Serena Battestini se lancent dans la campagne via un communiqué :

Amichi cari, bonghjornu à tutti,
Je serai candidat aux élections Législatives des 30 juin et 07 juillet 2024, en compagnie de Serena Battestini.
Nous nous présentons avec la sincérité de notre engagement militant. Nous n’avons rien à promettre individuellement. Notre combat est pour la Corse, ses droits politiques et historiques, son développement économique, son épanouissement social et son avenir à choisir librement son destin de peuple.

  • Avec nous, luttez contre la vie chère et pour le pouvoir d’achat; Dîtes non aux monopoles dans les domaines de la grande distribution, les carburants et les transports;
  • Avec nous, dites oui à une santé efficiente, avec un CHU multisites pour la Corse et un hôpital de Bastia rénové;
  • Avec nous, dites non à la spéculation foncière et à la spéculation immobilière, qui empêchent nombre de Corses à pouvoir se loger et vivre dignement;
  • Avec nous, dîtes oui au développement, à l’écologie, au tourisme maîtrisé et à l’agriculture de production;
  •  Avec nous, refusez la colonisation de peuplement et les 5000 arrivées par an en Corse;
  • Avec nous, revendiquez une véritable solution politique globale pour la Corse, avec l’arrêt de la répression contre les militants nationalistes, les anciens prisonniers et la libération de tous les prisonniers.

Al di là di i partiti è di l’idee, da Bastia à a Marana, da u Nebbiu à u Canale di l’Ostriconi, da a Conca d’Oru à u Capi Corsu, vutate per fà vince i vostri lochi è pieve, i vostri paesi è cità, a Corsica è u populu corsu!
Vutate per noi!

(Unità Naziunale – Publié le lundi 17 juin 2024) Le Député sortant, Paul André Colombani, et Thérèse Malu-Pellegrinetti, Partitu di a Nazione Corsa, Avanzemu, présentent leur candidature dans la seconde circonscription de Corse du Sud à la salle des fêtes d’Eccica Suarella.

(Unità Naziunale – Publié le lundi 17 juin 2024) Jean-François Luciani et Denis Pinelli, Partitu di a Nazione Corsa, Avanzemu, officialisent leur candidature à 12h30 au restaurant-bar  A Casetta, Avenue du Premier consul à Aiacciu.

(Unità Naziunale – Publié le dimanche 16  juin 2024) Jean Félix Acquaviva député sortant, et Marie-Jeanne Andréani, officialisent la candidature de Femu a Corsica à Corti

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(Unità Naziunale – Publié le vendredi 15 juin 2024) Michel Castellani, député sortant, annonce sa candidature officielement ce samedi au parc Mandela Montesoru.

(Unità Naziunale – Publié le vendredi 15 juin 2024) Avant même les militants et sympathisants, la presse connait la position de Nazione pour ces élections. Nazione, préfère ne pas participer à une élection franco-française et affirme avoir une montée en puissance de l’occupation du terrain… 

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(Unità Naziunale – Publié le vendredi 14 juin 2024) Femu A Corsica : Le résultat des élections européennes du 9 juin 2024, et la dissolution de l’Assemblée nationale décidée par Emmanuel Macron ont créé en France une situation grave, inquiétante et incertaine. Le score réalisé par les listes d’extrême droite, dont le projet et les valeurs sont aux antipodes de la vision et des propositions historiquement portées par le mouvement national, avoisine ou dépasse les 40%, en France comme dans l’île. L’hypothèse d’une victoire du Rassemblement National aux élections législatives n’est aujourd’hui pas à exclure et la France est entrée dans une période d’incertitudes et de turbulences graves. Cette nouvelle donne politique impacte d’ores et déjà la Corse, avec la suspension du processus d’autonomie, et l’impactera lourdement dans les mois à venir, pour tous les dossiers stratégiques de l’île, et dans tous les domaines, économique, social, culturel, et sociétal. Dans ce contexte, Femu a Corsica a considéré qu’il était de sa responsabilité, dans la continuité des réunions bilatérales organisées depuis plusieurs mois, d’initier une concertation visant à dégager une stratégie commune, non seulement pour les élections législatives, mais également au-delà de cette échéance électorale : il y a aujourd’hui la nécessité absolue de permettre la prise en compte des aspirations historiques du peuple corse et de réaffirmer notre opposition totale aux idées de l’extrême droite.  Cette initiative s’est prioritairement adressée, de façon naturelle, à l’ensemble des forces nationalistes, tout en ayant vocation, ultérieurement, à se prolonger vers l’ensemble des forces de progrès. La première étape de cette démarche consistait à rechercher les voies et moyens d’une convergence d’ensemble du mouvement national dès le premier tour de scrutin des élections législatives. Dans le même temps, le parti Core in Fronte a également appelé à une « convergence patriotique ». Les échanges intervenus entre les différentes formations politiques nationalistes ont fait ressortir que : • Nazione ne prendrait pas part à cette démarche, le parti se montrant particulièrement critique et s’affirmant en désaccord total avec la convergence proposée comme avec Femu a Corsica. • Le PNC proposait un principe de non-présentation de candidats contre les députés nationalistes sortants, néanmoins assortie d’une condition (l’absence de candidature de Romain Colonna, qui a réalisé 48% des voix au 2ème tour des législatives de 2022, dans la 1ère circonscription de Corse du Sud) et d’une réserve (l’impossibilité de garantir un soutien plein et entier, notamment dans la 2ème circonscription de Haute- Corse). • Core in Fronte, en l’état de ces différentes prises de position, a fait part de son intention de présenter des candidats dans chaque circonscription, en indiquant qu’il appellerait en toute hypothèse à un vote patriotique au 2ème tour. Femu a Corsica prend acte que les conditions politiques permettant une position commune à l’ensemble des formations nationalistes au premier tour des élections législatives ne sont pas réunies. Femu a Corsica présentera donc la candidature de Michè Castellani dans la 1ère circonscription de Haute-Corse et de Jean-Félix Acquaviva dans la 2ème circonscription de Haute-Corse, députés sortants, ainsi que celle de Romain Colonna, dans la 1er® circonscription de Corse du Sud. Concernant la 2ème circonscription de Corse du Sud, Femu a Corsica, tenant compte de la candidature du député sortant Paul André Colombani et de celle annoncée par Core in Fronte, ne présentera pas de candidat ou de candidate. Femu a Corsica soutiendra, dans cette circonscription, les candidats nationalistes présents au premier tour de scrutin, puis, lors du second tour, le candidat nationaliste arrivé en tête. Par ce choix, Femu a Corsica est fidèle à sa philosophie constante visant à la plus grande convergence possible, et à sa volonté de créer les conditions les plus favorables à l’élection de quatre députés nationalistes. La situation politique générale en France commande, dès cette élection législative mais aussi au-delà de celle-ci, de construire une stratégie d’ensemble réaffirmant les valeurs essentielles de la société dans laquelle nous voulons vivre, et garantissant la prise en compte des intérêts collectifs de la Corse et du peuple corse. A GHJUNTA DI FEMU A CORSICA U 14 di Ghjugnu di u 2024

(Unità Naziunale – Publié le vendredi 14 juin 2024) Romain Colonna donne une conférence de presse en vue des élections législatives dans la première circonscription de Corse du Sud, au café des palmiers à Ajaccio, Quartier Saint Jean.

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(Unità Naziunale – Publié le jeudi 13 juin 2024) Core in Fronte sera présent aux élections Législatives. Après analyse du contexte politique corse, français et international et la situation inédite portée par ces élections législatives; Après le refus de la convergence patriotique par les organisations politiques auxquelles Core In Fronte avait fait un appel récent; Prenant en considération l’urgence de la question sociale et sociétale, ainsi que l’émergence d’une Corse de plus en plus inégalitaire, paupérisée et déstructurée; Compte tenu de l’importance de la revendication historique du peuple corse pour son droit à choisir librement son avenir, avec une solution politique négociée et validée au niveau international; Core In Fronte réaffirme, à cette occasion, sa philosophie de mouvement populaire de lutte de libération ainsi que ses combats et revendications sur les problèmes quotidiens des Corses, selon une vision stratégique globale. Core in Fronte a décidé d’occuper l’espace électoral et le débat démocratique, en présentant des candidats dans les quatre circonscriptions pour les Législatives. Il s’agira de porter notre projet d’émancipation politique et sociale face à l’immobilisme français et au néo-populisme ambiant. Core In Fronte présentera ses candidats, et nos propositions, à l’occasion d’une conférence de presse en début de semaine à Peri. Da Per Noi.

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(Unità Naziunale – Lutte Institutionnelle – Publié le jeudi 13 juin 2024) Nazione : En France le résultat des élections européennes de dimanche dernier est la conséquence de l’échec des politiques, entre cynisme et mépris, menées jusqu’à aujourd’hui. La France est malade de son jacobinisme et d’un nationalisme d’Etat nation dépassé. Le mépris, encore exprimé récemment par le traitement réservé à nos frères Kanaks, bafouant les engagements passés et tentant dans un réflexe colonialiste toujours bien enraciné d’entraver la marche vers l’indépendance de la Kanaky. Le cynisme de choix successifs favorisant la paupérisation grandissante de son peuple. Par ailleurs, la Macronie et l’extrême droite nient par nature l’existence de notre peuple et son droit à décider librement de son destin. Le mouvement national doit combattre toutes les formes de colonisation, les schémas de pensée importés reposant sur des valeurs aux antipodes de ce que nous avons toujours défendu. L’extrême droite a été de tout temps l’ennemie de nos aspirations à la liberté, à notre existence même en tant que peuple. Notre pays, la Corse n’est pas un simple petit bout de France perdu au milieu de la Méditerranée cherchant protection et grandeur supposée sous la tutelle bienfaitrice de la grande nation française. Suite à la dissolution de l’Assemblée nationale française les élections législatives à venir sont en grande partie otage d’un débat franco-français. En Corse, nous assistons à des attitudes pour le moins surprenantes. Le parti de la majorité territoriale a, ces dernières heures, appelé à l’union du mouvement national pour sauver le « processus historique » ou ses suites. Comment pourrait-on sauver ce qui n’a été qu’une illusion? Après l’assassinat d’Yvan Colonna et les mobilisations de la jeunesse du printemps 2022, aurait pu s’ouvrir un cycle de discussions à la hauteur des enjeux et des revendications légitimes du mouvement national fort de la légitimité démocratique. En lieu et place, la majorité territoriale a avalisé les lignes rouges imposées par Paris. De recul en renoncement le vote du 27 mars dernier à l’Assemblée de Corse a sacrifié l’essentiel. L’écriture constitutionnelle qui a été validée par la majorité territoriale et ses alliés pour la circonstance exclut purement et simplement toute avancée possible pour la reconnaissance des droits de notre peuple sur sa terre. Celle-ci rend impossible la mise en œuvre d’un statut de résident, de mesures en faveur de l’emploi des corses, de mesures de protection pour nos entreprises, d’un statut pour notre langue. Ce projet n’est même pas l’autonomie, tout au plus un énième statut pour la Corse dans le cadre d’une nouvelle étape de décentralisation à l’échelle de la France. Dans ces circonstances, nous ne pouvons nous reconnaître dans des gesticulations purement électoralistes qui appellent à des rassemblements de dernière minute, ne visant qu’à sauver quelques strapontins de députés. Nous ne pouvons participer à duper le peuple corse en accréditant la thèse que les tribulations démentes de la politique française sont les seules responsables de la paralysie d’un « processus », qui n’en a jamais été un. Aujourd’hui le champ politique corse est sinistré. Le constat étant posé, il convient de se tourner résolument vers l’avenir. Non, nous ne sommes pas une communauté en concurrence avec d’autres communautés sur un territoire de la République française. Nous sommes un peuple, le peuple corse, seule communauté de droit sur sa terre. Non, nous ne sommes pas condamnés à subir un inévitable destin français, mais destinés, comme tous les peuples, à accomplir notre propre destin national. Nazione l’a toujours rappelé, seul un rapport de force politique peut nous permettre de nous hisser à la hauteur des enjeux pour garantir les droits de notre peuple sur sa terre. Il nous appartient aujourd’hui d’en jeter concrètement les bases. C’est ce que nous nous attellerons à faire dans les prochaines semaines sur le terrain et à travers une série d’initiatives y compris sur le plan international. C’est dans ce droit fil que nous serons présents lors de ces élections législatives selon des modalités qui seront précisées dans les prochaines heures. Nazione 13 juin 2024

Revue de presse – Résultats des élections européennes, dissolution de l’Assemblée Nationale Française, les premières réactions – #Corse

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