Le 14 mai 1980, le FLNC blesse quatre gendarmes lors d'une action commando sur Paris Storia Corsa - Le 14 mai 1980 à 6h30(?), une BMW longe l'avenue d'Iéna à Paris et lâche une rafale sur les gendarmes mobiles en faction devant l'ambassade d'Iran, avec un paquet d'explosif (grenade?) qui saute sur le trottoir. Quatre gendarmes sont blessés par des inconnus lors d'un mitraillage devant l'ambassade d'Iran à Paris, avenue de Iéna. trois d'entre eux sont blessés aux jambes et le quatrième a été atteint par une balle au visage. MM. Perrin, qui est le plus touché, atteint d'une balle de 9 m/m au visage. Il reste cinq jours dans le coma. Il s'en sortira miraculeusement mais est contraint, pour le restant de sa carrière, à occuper une fonction sédentaire, Tornay, Gondin et Huard,sont eux aussi blessés, tous appartenant à l'escadron 5/15 de la gendarmerie mobile de Chambéry. L'action a été revendiqué par le Front de Libération Nationale de la Corse. (FLNC crée en 1976) « L’attentat ne visait pas l’ambassade d’Iran elle-même mais les forces de l’ordre uniquement qui, pour nous, sont les forces de répression qui frappent quotidiennement le peuple corse dans notre pays ...» Une demi-heure après l'attentat de l'avenue d'Iéna, un correspondant anonyme a revendiqué auprès de l'Agence France-Presse les deux actions au nom du Front de libération nationale de la Corse (F.L.N.C.). " Deux hommes ont tiré à la mitraillette contre les forces de l'ordre, a déclaré le correspondant. Nous tenons à préciser que l'attentat ne visait en aucun cas l'ambassade d'Iran elle-même, mais les forces de l'ordre uniquement qui, pour nous, sont les forces de répression qui frappent quotidiennement le peuple corse dans notre pays. C'est une première réponse au verdict de la Cour de sûreté de l'État hier soir qui a frappé très durement les militants nationalistes corses. " Suite de l'article ici https://www.corsicainfurmazione.org/1518157/corse-le-14-mai-1980-le-flnc-blesse-quatre-gendarme-lors-dune-action-commando-sur-paris/1980/