(Unità Naziunale – Lutte Internationale – Publié le 29 janvier 2021 – Source) Il y a 3 prisonniers politiques basques dans cette prison, dont Izaskun Lesaka, un habitant de Burlata. Douze cas positifs ont été détectés dans les modules pour femmes de Reau, où Iratxe Sorzabal, Izaskun Lesaka et Ainhoa Ozaeta sont emprisonnés, et dans les deux autres modules pour hommes.
L’Observatoire des prisons d’État (OIP) s’est plaint de ne pas disposer de données officielles à jour, mais comme les cas positifs continuent d’augmenter dans l’État français, son reflet se verra également dans les prisons.
Conditions de vie dans les prisons
Si la crise sanitaire souffre dans le monde depuis près d’un an, et si les dégâts du coronavirus sont sévères, c’est encore plus dur en prison. En fait, les mesures sanitaires sont arrivées dans les prisons plus tard que nécessaire. Par exemple, l’utilisation des baisers: les premiers ont été reçus dans les prisons françaises en octobre, lorsque l’utilisation des baisers était obligatoire dans d’autres parties de l’État.
Selon Kazeta.eus, les salles de lavage des mains sont également interdites dans les prisons car elles contiennent de l’alcool. Garder les mains propres est l’un des droits garantissant la santé des détenus, a déclaré l’observatoire.
L’observatoire de l’OIP veut trouver des solutions à l’isolement vécu par les détenus dans les prisons, « la détention en prison a déjà des conséquences néfastes, nous devons donc essayer d’ouvrir la relation à l’extérieur, pour aider les gens psychologiquement », a déclaré à Kazeta le coordinateur de recherche de l’OIP, François Bes. .eus. Outre les prisonniers, les proches souffrent également des effets de la situation imposée par le coronavirus dans les prisons, a-t-il ajouté, « des troubles se font sentir des deux côtés », le nombre de visites dans les prisons ayant considérablement diminué depuis le début de la pandémie.
Source: Kazeta.eus-Argia.eus
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