Décembre 1999 au large des côtes bretonnes, le naufrage de l’Erika. Trente mille litres de fioul déversées sur 400 km de côtes. Deux procès ont établi la responsabilité de l’affréteur Total et de 3 autres prévenus, condamnés à verser plus de 200 millions d’indemnités aux parties civiles. Aujourd’hui, coup de théâtre : ces indemnités ne sont pas remises en cause mais selon les quotidiens Ouest France et Libération.La cour de cassation (qui se prononcera le 24 mai) pourrait annuler toute la procédure.
L’avocat général estime que ce naufrage s’est produit en dehors des eaux territoriales et que les juridictions françaises ne sont pas compétentes pour condamner Total. (France Bleue)
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