Aujourd’hui antisystème, Gilles Simeoni s’imagine bien demain dans l’hémicycle du palais Bourbon. Le candidat Femu a Corsica joue cartes sur table et répond du tac-au-tac.
24 Ore : Vous avez hésité entre une candidature à Bastia ou dans le Niolu. Faux suspense ou vrai choix ?
Une véritable réflexion, puisque j’ai un ancrage politique et familial dans le Niolu. Mais mon objectif étant la mairie de Bastia, j’ai fait mon choix. Une autre décision aurait été incohérente pour les militants et ma carrière politique.
24 Ore : Lors des dernières élections, les nationalistes avaient soutenu Sauveur Gandolfi-Scheit face à Emile Zuccarelli. Seriez-vous prêt à recommencer ?
Clairement, non. Nous ne sommes plus dans la même logique. Bien que l’idée est toujours de mettre fin à la dynastie de l’immobilisme, incarnée par Jean Zuccarelli.
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