Un toccate a mo scola. » Une seule phrase écrite en lettres colorées. Couchée sur une pancarte par une main d’enfant qui ne veut pas voir son école fermée. Ce n’est plus une simple requête mais le cri de colère de plus de 150 instituteurs, syndicalistes, élus et anonymes « inquiets pour l’avenir de l’école ». Hier en début d’après-midi, à l’appel du collectif Per a difesa di a scola, tous se sont rassemblés devant les grilles de la préfecture de Haute-Corse.
Une mobilisation pour réaffirmer leur détermination moins de quelques minutes avant la tenue du conseil départemental de l’Éducation nationale (CDEN) qui devait entériner le sort des postes menacés à la rentrée prochaine. Un comité qui, rappelons-le, a un rôle uniquement consultatif.
18 fermetures de postes et 7 ouvertures (suite)
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