Tout miser sur un cercle pour agiter le cocotier du grand banditisme. Le pari de la Jirs de Paris est peut-être en train d’aboutir. L’affaire du Wagram compte un premier wagon extorsion en bande organisée. Mais elle pourrait être tirée par une locomotive : de nouvelles poursuites pour blanchiment. Lundi, les policiers signifiaient leur garde à vue à seize personnes interpellées à Paris, Marseille et dans l’île. Hier, deux autres les rejoignaient en garde à vue. Elles exerçaient également des fonctions importantes au sein de l’association, qui est (faut-il le rappeler ?) à but non lucratif. L’une des deux est une femme soupçonnée d’avoir eu un rôle clé en distribuant de l’argent liquide aux employés. Selon un avocat, elle est proche de Bernard Squarcini, dont elle avait reconnu sans complexe « avoir le numéro de téléphone », elle avait déjà été entendue en juin.
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