Le secrétaire national de l’Alliance écologiste indépendante (AEI), toujours en quête des 500 parrainages, fait le siège du CSA (Conseil supérieur de l’audiovisuel), à qui il reproche de ne pas faire respecter aux télés et radios le temps de parole auquel il estime avoir droit.
Vous avez entamé hier une grève de la faim devant le CSA. Pourquoi ?
Parce que je suis outré de la passivité de certains médias à mon égard. Je représente aujourd’hui le septième parti politique français. Un parti qui a tout de même réalisé 3,7 % des voix aux européennes 2009 et qui a confirmé ces excellents scores aux cantonales 2011. Sur les soixante candidats déclarés à la présidentielle, quinze respectent les critères édictés par le CSA et le Conseil d’Etat. Je fais partie de ceux-là, mais je suis curieusement le seul à être ignoré par les trente et une chaînes de télés et radios définies par le CSA. Je compte bien observer cette grève de la faim jusqu’au 16 mars, date du dépôt des signatures au Conseil constitutionnel.
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