Le collectif Per u drittu à a salute in Piaghja urientale a tenu une conférence de presse hier à Ghisonaccia pour expliquer pourquoi la vigilance envers l’ARS doit être multipliée. e 12 janvier dernier à l’appel du collectif Per u drittu à a salute in Piaghja Urientale, devait avoir lieu une manifestation pour la défense de la santé. Le directeur de l’ARS, Dominique Blais, avait alors devancé le collectif, les élus et la population en annonçant sa venue à Ghisonaccia, la veille de ce rassemblement.
Et il n’y venait pas les mains vides. Bien au contraire, puisque sa valise contenait toutes les réponses aux inquiétudes du collectif. Le directeur de l’ARS répondait même au-delà de ce que toute une région espérait. Or, depuis cette annonce, plus aucune avancée n’a été constatée. Du côté de la Plaine orientale, on commence à grincer des dents. Les esprits s’échauffent et l’on craint d’avoir été dupés par des considérations politiciennes dépassant le cadre de la santé publique… Ainsi, hier soir, le collectif a tenu une conférence de presse à Ghisonaccia pour expliquer pourquoi la vigilance doit être multipliée et pourquoi la pression populaire doit se manifester à nouveau.
Esteban Saldana, président du collectif, rappelait dans un long compte rendu les promesses faites ce 11 janvier par Dominique Blais. Ces engagements comportaient la pérennisation d’une antenne Smur de l’hôpital de Bastia en Plaine orientale dans les plus brefs délais. Mais aussi l’instruction rapide du dossier de scanner déposé en octobre ainsi que la prise en compte immédiate d’un arrêté d’autorisation du Centre de réadaptation conforme au dossier établi et sa notification à la société porteuse du projet.
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