L’été dernier, il avait défrayé la chronique pour avoir quitté la boucherie qu’il avait ouverte, au mois de mai, à Port-Louis (56), laissant sur le carreau employés et fournisseurs qui avaient trouvé porte close à la fin du mois de juillet. Celui qui s’est fait connaître sous le nom du « boucher corse » était jugé ce lundi, devant le tribunal de Lorient. Ce ne sont pas les malversations liées à son activité morbihannaise qui étaient, cette fois, en cause, le dossier étant toujours au stade de l’instruction.
En effet, le quinquagénaire du Lot a été rattrapé par la justice pour l’affaire qu’il avait montée juste avant, à Clermont-Ferrand. Il y avait repris un magasin de primeurs et y avait ouvert, à la place, un commerce de boucherie-charcuterie-fromagerie-poissonnerie qu’il avait tenu pendant un an et demi. Des malversations s’élevant à plus de 67.000 € Tout comme à Port-Louis, il l’avait quitté « précipitamment », laissant derrière lui des clients floués et des fournisseurs impayés… Le total de ses malversations s’élevait à plus de 67.000 €. Placé en détention préventive (pour les faits portlouisiens) depuis son interpellation, courant août, à Agen, le tribunal l’a condamné pour ce volet auvergnat à 30 mois de prison ferme. (source et suite du dossier)
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