(Unità Naziunale- 17h30) Le PSG-Quatar, club chéri des hautes sphères parisiennes, a une fois de plus défrayé la chronique.
Alors que Qatar est attaqué de toutes parts pour ses accointances réelles ou supposées avec l’islamisme terroriste, l’émir qui dirige le club « parisien », a tenu à démontrer aux petits joueurs européens qu’un contrat sportif est, pour les pétroliers du Golfe, un vrai droit de vie ou de mort. Comme un pur sang ou une odalisque de harem en somme !
La traite des esclaves, qui fit la fortune des grands ports français comme de ceux du Golfe Persique, avait été néanmoins péniblement abolie au XIXème siècle. Pas pour tout le monde semble-t-il, puisqu’à côté de ses lucratives activités gazières, l’aristocratie de Doha semble vouloir conserver sa tradition négrière !
Une revendication identitaire en quelque sorte, dans ce monde que le fondamentalisme qatarien trouve si désespérément permissif…
Ghjacumu Faggianelli
8 juillet 2017