La légende dit : « Pour avoir osé défier les dieux, Sisyphe fut condamné, dans le Tartare, à faire rouler éternellement jusqu’en haut d’une colline un rocher qui en redescendait chaque fois avant de parvenir au sommet (Odyssée, chant XI) ». (Wikipédia).
Plus personne dans l’île et au-delà n’ignore aujourd’hui la réalité de la Corse, cette île de Méditerranée que la nature a comblé d’atouts naturels remarquables ; ses sites- reconnus et visités-, ses rivières, ses lacs, ses rivages, ses forêts, ses montagnes – plus de cent sommets dépassent les deux mille mètres- ; et aussi son peuple, avec sa culture originale, dont l‘origine se perd dans la nuit des temps et dont la science a démontré, depuis longtemps, que nos ancêtres n’étaient pas les Gaulois, comme l’affirme, avec aplomb, la doxa officielle. La fable d’une Corse pauvre, incapable, – la théorie coloniale- a vécu car elle recèle, ici et dans la diaspora, tous les ingrédients du succès (ressources humaines, techniques, financières…).