(Corse Matin) « Le cas de Sampieru illustre parfaitement le cas des prisonniers politiques en fin de peine. Conditionnelle ajournée puis refusée, rapprochement refusé, tel est le quotidien de nos prisonniers, otage d’un État incapable de respecter ses propres lois. »
Dans les locaux de l’associu, hier matin, Sampieru Andreani, condamné à huit ans en 2014 pour attentat et braquage en lien avec une entreprise terroriste, libre depuis le 9 août après plus de cinq ans de détention, a donné une conférence de presse afin de revenir sur ses conditions de détention et « le traitement réservé aux prisonniers politiques corses ».
Soixante-quatre mois de détention, dont cinquante-deux à Villepinte, dans la région parisienne avant de rejoindre Borgo la dernière année.
LIRE LA SUITE SUR CORSE MATIN
TDR CORSE MATIN
.
.
A l'accorta annant'à Google Infurmazione
For Latest Updates Follow us on Google News
Nos dernière informations sur Google Actus