Il souhaite éviter les effets d’annonce et les polémiques. Depuis qu’il est président de l’assemblée de Corse, Dominique Bucchini refuse de se valoriser. Il veut oublier lesscories du passé, travailler dans la concertation et aller de l’avant. Si ses pensées les plus profondes et ses propositions les plus pertinentes, il les réserve aux membres de la commission, il ne se prive cependant pas d’asséner quelques vérités. La veille de la cinquième réunion de commission ad hoc, Dominique Bucchini livre son sentiment sur l’engrenage de la violence qui inquiète citoyens et élus.
La commission violence est installée depuis un an. Quel bilan dressez-vous ?
Nous sommes conformes aux engagements que nous avons pris en commun. Nous tenons le rythme des auditions qui nous permettra d’avoir un panorama complet de l’état des lieux. C’est une phase assez longue, car si nous n’avons pas le tissu de l’existant avec le témoignage d’élus, d’hommes, de femmes de terrain et de spécialistes, nous ne pouvons pas jouer la deuxième mi-temps du match…
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