Convoqué à 13h30, le délibéré est tombé à 19h00, relaxe pour Sébastien Poilblan, militant de Corsica Libera et de Sulidarità.
Accompagné au tribunal par sa famille, ses amis, et par les militants de Sulidarità et de Corsica Libera, dont le Président de l’Assemblée de Corse, Jean Guy Talamoni, son ami et élu de l’Assemblée de Corse, Paul Leonetti, la Vice Présidente de l’Associu Sulidarità, Katty Bartoli, ainsi que la présence de François Santoni, membre de l’Exécutif de Corsica Libera.
Le Procureur de la République demandait 60 heures de Travaux d’Intérêt Général argumentant dans son rôle qui est le sien, à charge mais sans harcèlement. C’était sans compter la plaidoirie de la défense, en la présence de Me Camille Romani, qui lors de son intervention à démontré que non seulement le refus d’ADN avait des précédants historiques dans le mouvement national, mais aussi ailleurs en France, lors des procès des « faucheurs OGM », mais que dans la cas précis de Sébastien, dans l’affaire pour laquelle il avait écopé d’une garde à vue/perquisition, avec libération sans aucune charge, la prise d’adn n’était pas obligatoire.
Après une longue recherche, le juge du Tribunal correctionnel s’est rangé du cotés des arguments de la défense et il a relaxé Sébastien Poilblan.
voici quelques photos de cette journée :