Polémique autour d’une intervention du GIGN, le 5 novembre dernier à Ghisonaccia, en plaine orientale … Deux versions s’opposent : celle du procureur général de Bastia qui affirme que les gendarmes du GIGN étaient parfaitement identifiables et ont essuyé des coups de feu…Et puis la version d’un jeune homme en fuite depuis, Marc’Andria Sisti, qui assure que rien, absolument rien, n’indiquait qu’il s’agissait de force de l’ordre… Une version défendue ce matin, à Bastia, par sa famille, ses proches, mais aussi des élus nationalistes, regroupés au sein d’un collectif informel… Le père de Marc’Andria Sisti a d’ailleurs annoncé que ce dernier va bientôt se rendre, le temps, dit-il, de garantir les conditions d’une réddition sans danger pour sa vie…
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