(CORSE MATIN) Cette « procédure-poubelle », ouverte depuis 18 ans, avait pour point de départ la colère d’agriculteurs locaux à l’encontre des pouvoirs publics.
Le parquet antiterroriste de Paris a rendu un non-lieu général à l’endroit des 31 personnes encore mises en examen dans le cadre de la « piste agricole », l’une des hypothèses des enquêteurs lors des investigations sur l’assassinat du préfet de Région Claude Erignac, survenu le 6 février 1998.
Elle avait longtemps été tenue comme la piste privilégiée susceptible de mener aux assassins du représentant de l’Etat
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A l'accorta annant'à Google Infurmazione
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