(CORSE MATIN) Dans l’émission hebdomadaire, le président de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine a rappelé hier que la Corse n’était pas à l’abri de voir des ghettos se former, si rien n’était fait dans les années à venir
Impopularité de François Hollande, accueil des migrants, jungle de Calais, projet de loi du Travail… Le maire de Sarcelles et président de l’Agence nationale pour la rénovation urbaine (Anru), François Pupponi, n’a pas esquivé hier soir les questions de l’émission Cuntrastu de Via Stella, face aux journalistes Jean-Vitus Albertini (France 3 Corse), Roger Antech (Corse-Matin) et Patrick Vinciguerra (RCFM).
Élu à la tête de l’Anru en 2014, le maire de Sarcelles a expliqué que ces quartiers peuvent changer, s’améliorer. À condition d’y mettre les moyens. « Globalement, les quartiers qui ont fait l’objet du premier plan de l’Anru, lancé il y a dix ans par Jean-Louis Borloo, ne sont plus les mêmes. Tout a été rénové, restructuré. Et tous ceux qui les visitent considèrent que c’est certainement l’une des plus belles réussites de politique publique depuis une cinquantaine d’années », a plaidé l’élu corse, originaire de Sainte-Lucie-de-Tallano.
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