(Alta Frequenza) Après un débrayage en juillet dernier, le STC de l’association l’Eveil, qui emploie cent-soixante personnes sans compter les CDD, tire la sonnette d’alarme concernant la situation sociale au sein de l’association.
(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Respect du code du travail et transparence ne sont toujours pas au rendez-vous selon les syndicats, qui dénoncent la gabegie constituée par le recrutement d’un directeur de transition venant du nord de la France, une mission qui aurait coûté selon le syndicat près de 100 000 euros en six mois à l’Eveil qui n’a donc toujours pas de directeur général. De plus, les relations du personnel avec ce directeur de transition seraient, toujours selon le syndicat, très difficiles.
Aussi, le copinage et la cooptation seraient le maître mot du côté de la présidence de l’association selon le STC qui dénonce, notamment, le rejet de la candidature à un poste permanent d’un psychologue travaillant depuis un an en remplacement d’un autre psychologue de la structure.
On écoute Frédérique Albertini pour le STC de l’Eveil