Un spectacle de marionnettes avait été commandé par la ville de Madrid, dans le cadre du carnaval, à deux marionnettistes satiriques.
Comme la pièce burlesque a mis notamment en scène la pendaison de l’effigie d’un juge, l’agression d’une religieuse avec un crucifix et un passages à tabac policier, des parents d’élève ont protesté et la ville à porté plainte. Mais c’est un panneau « Vive ETA Alka, » (jeu de mots sur ETA et Al-Qaida) qui a les conséquences les plus lourdes puisque les deux marionnettistes ont été mis en prison, sans possibilité de libération sous caution, pour « apologie du terrorisme »…
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A l'accorta annant'à Google Infurmazione
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