(CORSE MATIN) De la liesse populaire après la victoire de dimanche 13 décembre au soir à la séance d’installation dans l’hémicycle de l’Assemblée de Corse, jeudi dernier, c’est un Gilles Simeoni toujours aussi convaincu de la route à suivre et du chemin à tracer que l’émission Cuntrastu a reçu.
Le nouveau président de l’exécutif a désormais – aux côtés de l’autre président, celui de l’Assemblé de Corse, Jean-Guy Talamoni, la rude mission de travailler au bien commun de la Corse. La rude mission, surtout, de ne pas décevoir l’espoir des quelque 53 000 électeurs qui ont fait confiance à la liste Pè a Corsica.
En rappelant que « la pierre fondatrice, ce sera la volonté partagée de construire la paix ». Sur le plateau de France 3 ViaStella, l’invité a évoqué, au gré du traditionnel jeu de questions-réponses avec les trois journalistes – Jean-Vitus Albertini, Roger Antech et Patrick Vinciguerra – tout à la fois les raisons d’y croire et les sujets qui risquent de faire débat. Notamment avec le gouvernement.À ce propos, « il faut sortir de cette logique de surenchère avec Paris », persuade le président du conseil exécutif.
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