(Corse Matin) Si la préfecture ne conteste pas le fait qu’il y ait des personnes « suivies » dans l’île, elle n’entre pas davantage dans le détail.
Pas d’amalgame ». Le préfet de Corse, Christophe Mirmand, l’a dit et répété et il n’est pas le seul.
Hier, Nicolas Lerner, coordonnateur pour la sécurité en Corse, a confirmé qu’à « ce jour, le travail quotidien et renforcé des services n’a pas permis de déceler de situation individuelle de radicalisation constituant une menace imminente pour la sécurité des Corses ». Discours officiel oblige mais, après enquête, très proche de la réalité.
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TDR CORSE MATIN19
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