(Corse Matin) En troisième position sur la liste de l’ancien président de l’Assemblée de Corse, le leader d’Une Nouvelle Corse apporte du sang neuf. Un regard également.
Vous annoncez une liste il y a deux mois et partez comme un seul homme, pour finalement en rejoindre un autre aujourd’hui, Camille de Rocca Serra… Crédible, Jean-Martin Mondoloni ?
Rien d’un tour de passe-passe ! La situation a changé entre le moment où j’avais décidé de me présenter et l’évolution du paysage politique à droite qui conduit actuellement deux grands blocs à s’affronter.
Dès lors, il n’y a, à mon sens, aucune place pour une autre initiative. Deux options s’offraient à moi. Soit rester sur le carreau en prenant le risque de ne pas passer la barre fatidique du premier tour. Soit faire vivre de l’intérieur les idées que mes amis et moi-même portons depuis quelques années. J’ai fait le choix de la raison. Est-ce que l’on développe l’avenir en ayant des chances d’être élu ou en restant dans l’ombre de la défaite ? J’ai opté pour l’avenir.
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