(Corse Matin) Jean-Jacques Panunzi a rencontré Nicolas S. En queue de peloton. Après Laurent, Camille et JR. Le samedi, plus précisément, qui a précédé le départ de Sarkozy.
Sur la table, un seul plat. De résistance. Panunzi a été clair : si à la fin du mois de septembre, les propositions faites par lui et les siens pour que le conseil départemental du sud forme un seul groupe à 22 – conditions sine qua non à la clé – n’étaient pas mises en oeuvre immédiatement par la nouvelle gouvernance, alors, les deux listes de droite ne fusionneront pas au deuxième tour.
C’est sans appel. Et rien n’y a fait, pas même le “tu veux faire perdre la droite ?“ interloqué du patron des Républicains. Panunzi entend tenir bon. Par la disgrâce de l’un de ces hasards malchanceux dont le calendrier a le secret, fin septembre, la droite pourrait avoir un petit air de SNCM : rien ne garantit complètement que la liquidation sera évitée.
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