(Corse Matin) Pour la deuxième année consécutive, huit communes corses font partie des villes pouvant bénéficier du dispositif. La fédération du logement 2A demande aux autorités préfectorales d’instaurer l’observatoire des loyers nécessaire
Une usine à gaz », pour certains, parmi lesquels figurent généralement les professionnels de l’immobilier et forcément les propriétaires. Un espoir réel, pour d’autres, qu’il faut sans surprise aller chercher du côté des locataires. Le fameux encadrement des loyers découlant de la loi Alur suscite autant de crainte que d’attente.
Et beaucoup de regards sont actuellement tournés vers Paris, où le dispositif est en vigueur depuis le 1er août, afin d’évaluer ses conséquences exactes sur le marché.
Expérience qui n’est pas sans rapport avec la Corse, puisque l’île compte huit communes classées en « zone tendue », c’est-à-dire pouvant potentiellement être concernées par l’encadrement des loyers sur leurs territoires respectifs. Le décret du 10 juin dernier maintient en effet ce classement, pour la deuxième année consécutive, pour les agglomérations d’Ajaccio, Bastia, Biguglia, Brando, Furiani, San-Martino-di-Lota, Santa-Maria-di-Lota et Ville-di-Pietrabugno.
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