L’actualité universitaire est-elle trop dense pour que les futurs candidats à la présidence se déclarent ? À quatre mois du scrutin, l’échéance est-elle encore jugée trop lointaine ? Quoi qu’il en soit, personne ne s’est encore exprimé publiquement sur le sujet, mais en coulisse, la campagne bat son plein depuis longtemps.
Selon nos informations, les candidats les plus avancés ont déjà beaucoup travaillé. Pour savoir sur qui ils pourront compter au sein de la communauté universitaire. Une démarche qui a permis à tout un chacun de compter ses troupes, mais aussi de prendre la mesure de l’incontournable négociation. Dans un camp comme dans l’autre, celle-ci a même poussé à l’anticipation, à savoir la constitution, ne serait-ce que partielle, des futures équipes en cas de victoire. À l’évidence, ceux qui s’empressent de répondre « qu’il est beaucoup trop tôt pour en parler »,dès lors que le sujet est abordé, n’arrivent à convaincre que les plus naïfs ou les plus déconnectés. Il est vrai que le trentième anniversaire de l’institution prend beaucoup de place sur le campus. Il occupe le devant de la scène au même titre que la campagne d’habilitation étroitement liée à la très redoutée évaluation de l’AERS.
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