(Corse Matin) Partout ailleurs en Europe, même dans les nations où les championnats de foot sont d’un niveau supérieur, il n’y aurait guère eu besoin de multiplier les messages, de réunir des dizaines de milliers de signatures et de rencontrer cinquante ministre pour obtenir une journée nationale sans ballon, seulement dédiée à la mémoire des victimes et à la sensibilisation des jeunes sur les valeurs du sport.
Ce n’est pas le cas dans notre pays où les considérations mercantiles prévalent.Dans l’île, on n’est pas à cours d’imagination et d’audace pour porter la juste revendication.
Comme ici, où l’association « Toga Plongée » a déployé sa banderole sous l’eau. Après tout, obtenir gain de cause, ça ne devrait pas être la mer à boire…
LIRE LA SUITE SUR CORSE MATIN
TDR CORSE MATIN