(CORSE MATIN) Et pas Tatti et patatras… La semaine est allée ainsi, balançant de petits règlements de comptes entre amis politiques l’oxymore, toujours en chaos annoncé mais qui ne vient finalement pas. Sur le mode très théâtral du « retiens-moi ou je fais un malheur…
« Le budget de la ville de Bastia a ainsi été voté. Celui de la Cab paraît rentré dans les clous. Le référé devant le tribunal administratif qui devait laver l’outrage de lèse-Panunzi – l’élection d’un autre président au conseil départemental de Corse-du-Sud et l’exécutif qui échappe au sortant- est encore dans les limbes. Et la main de Giacobbi qui ferait encore les élections en Haute-Corse – l’éviction de pourtant fidèles, la consécration de nouveaux affidés, ce système-Giacobbi pointé du doigt par d’autres – reléguée au rang de fantasme.
Et pas Tatti et patatras… La politique ne serait ainsi qu’un jeu d’illusions collectives, qu’un jeu du pouvoir raisonné. Des salves nourries, des déchirements en public et tout le monde revient dans le rang. Le sens de l’intérêt général en somme, et qui l’emporte toujours. Foutaises.
TDR CORSE MATIN