Après les cruels revers qu’elle a subis, la famille libérale corse est à la recherche d’un souffle nouveau. À côté de l’UMP dont les cadres ont été rajeunis, la branche dissidente, Une Nouvelle Corse, se définit volontiers comme une droite moderne et régionaliste. Portée par Jean-Martin Mondoloni et Marie-Antoinette Santoni-Brunelli, l’UNC s’est structurée, elle s’installe progressivement dans le paysage politique insulaire, la naissance électorale proprement dite interviendra aux territoriales de 2014. Mais ce jeune mouvement a déjà le mérite d’avoir choisi son camp entre ceux qui font de la politique avec l’économie, et ceux qui font de l’économie une politique. Dans cet esprit, il promeut un modèle de développement qui rend l’ensemble de la société corse solidaire de sa réussite. Et englobe toujours le tourisme, le BTP, l’agriculture, piliers incontournables (et à consolider) des « petites économies insulaires » seules capables de tirer leur épingle du jeu de la mondialisation.
« L’épargne corse pour des projets corses »
Avec le soutien de Sylvain Fanti pour la partie technique, Jean-Martin Mondoloni esquisse le modèle préconisé par Une Nouvelle Corse, résolument orienté vers les gisements d’emplois que représentent le développement durable et l’économie numérique :
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