(CORSE MATIN) Concilier développement du territoire et préservation des intérêts écologiques : les communautés de communes de l’Alta Rocca et de la Côte des Nacres planchent sur les documents d’objectifs Natura 2000
Ils sont les emblèmes de nos montagnes et de nos forêts, indissociables de l’identité de cette île. Et pourtant, leur survie et leur équilibre sont plus que jamais menacés. Pour ne citer qu’eux… Le mouflon, si discret et toujours vulnérable, soumis à des milieux souvent hostiles (braconnage, circulation…). L’impressionnant Gypaète barbu, le plus grand rapace de Corse (à peine 10 couples encore recensés à ce jour sur l’île). Mais aussi les majestueux pins laricciu et leurs spécimens pluricentenaires, habitats indispensables à l’écosystème. Sans oublier la truite corse, soumise à une pression anthropique de plus en plus forte… Une faune et une flore fragile que l’on retrouve notamment sur les sites classés du massif de Bavella et de la rivière la Solenzara en Corse-du-Sud. Un patrimoine environnemental inestimable qui subit année après année une importante pression touristique et qui n’échappe pas non plus aux aléas naturels (feux de forêts, etc.). Avec les conséquences que cela implique.
(LIRE LA SUITE SUR CORSE MATIN)