Les propos de Gilles Simeoni ne sont pas tombés dans l’oubli. L’avocat devra prochainement s’expliquer sur les accusations portées contre de hauts fonctionnaires de l’Etat, devant l’assemblée de Corse, le 23 juin dernier, au lendemain du troisième procès d’Yvan Colonna devant la cour d’assises spéciale de Paris.
Mis en cause lors de cette intervention plutôt inhabituelle dans l’hémicycle, Frédéric Vaux, directeur adjoint de la sécurité intérieure, a en effet décidé de poursuivre le plaideur devant le tribunal de grande instance d’Ajaccio pour « diffamation publique ».
Gilles Simeoni, avait pris la parole en séance publique, à l’issue des questions orales, devant un auditoire assez partagé sur l’initiative, et longuement fustigé les conditions dans lesquelles l’affaire Colonna a été instruite et jugée.
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