(CORSE MATIN) Le docteur François Benedetti l’avait annoncé mercredi : son entrevue avec la CPAM serait agitée…
Depuis hier matin, il est donc barricadé à l’intérieur du bureau du médecin-conseil où il a donc passé la nuit. Comme à son confrère le docteur Rocchi, entendu la veille, il lui est reproché un trop grand nombre de prescriptions de médicaments non substituables, des médicaments non génériques, les princeps, dans le jargon médical.
« Nous le soutenons totalement, clame le docteur Antoine Grisoni, de l’URPS médecins libéraux. Tous les mois, la France mets sur le marché des médicaments qui coûtent les yeux de la tête ! Récemment il y a eu une boîte de médicaments qui coûte 19 000 euros pour le traitement de l’hépatite C ! Et on n’est même pas sûrs que cela soit vraiment efficace. Après on vient chercher des médecins (…)
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