(CORSE MATIN) Jeudi soir, après la mise en examen du militant nationaliste membre de l’exécutif de Corsica Libera par le juge antiterroriste Alain Gaudino, celui des libertés et de la détention devait statuer sur son placement
Les charges retenues contre Pierre Paoli résonnent dans les couloirs de la galerie Saint-Éloi à Paris, mais leur écho ne s’est pas fait entendre dans l’île.
Jeudi soir, le militant nationaliste membre de l’exécutif de Corsica Libera a été mis en examen dans le dossier des nuits bleues de 2012, par le juge antiterroriste Alain Gaudino devant lequel il était présenté hier à Paris.
Cette mise en cause regroupe de source judiciaire les 24 attentats de mai, perpétrés en six nuits et les 21 autres commis du 7 au 8 décembre de 2012.
Dans la soirée, le juge des libertés et de la détention, devant lequel a eu lieu un débat contradictoire, était saisi. Le choix du magistrat entre le placement sous contrôle judiciaire ou la détention provisoire n’était pas connu à l’heure où nous écrivions ces lignes.
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