(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Sur le terrain des départementales, Corsica Libera compte ne pas faire de figuration. ..
En effet, le parti indépendantiste sera très présent sur toute la Corse, y compris dans des initiatives communes avec les nationalistes modérés dans certains cantons de Corse-du-Sud mais aussi de Haute-Corse.
S’il est trop tôt aux yeux de Corsica Libera pour s’exprimer sur les nuances de cette stratégie globale, celle de la cohérence a été définie en Haute-Corse. Il faut dire que du côté des quatre cantons bastiais, les alliances des dernières municipales entre nationalistes modérés et une partie de la gauche et de la droite ont été renouvelées, une configuration qui à l’époque avait particulièrement déçu Corsica Libera qui affirme être seul tenant du véritable nationalisme dans ces cas de figure.
Dans le département, de façon plus globale, les visages connus de longue date comme ceux d’Eric Simoni, François Sargentini, Sébastien Quenot ou Petr’Anto Tomasi côtoient de nouveaux visages, jeunes ou moins jeunes, qui avaient jusque là une expérience électorale limitée voire nulle comme Massimu Poli, Josepha Geronimi, Culomba Sicurani ou l’emblématique Jojo Bonavita.
On écoute sur ALTA FREQUENZA Eric Simoni pour Corsica Libera