(CorseMatin) Lundi, trois militants nationalistes et membres de l’exécutif de Corsica Libera étaient interpellés dans le dossier des nuits bleues de 2012.
Ce mardi, en fin de journée ils n’étaient plus que deux à être interrogés dans les locaux de la caserne d’Aspretto, à Ajaccio.
La garde à vue de l’un d’eux a été interrompue «à la demande d’un médecin car son état de santé n’était pas compatible», témoigne un proche du dossier. Une reprise de garde à vue, dans les prochains jours, ou les prochaines semaines, «ne peut être exclue», poursuit-il. Au cours des auditions, les enquêteurs ciblent les 45 attentats perpétrés lors des deux nuits bleues de 2012 – 24 commis en six nuits au mois de mai et 21 dans la nuit du 7 au 8 décembre.Durant la journée d’hier, en marge de ces gardes à vue, d’autres personnes ont été entendues en qualité de témoins.
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