À la fête de l’Humanité, engloutie dans une marée humaine où le rouge est sésame, il a osé le vert et le bleu. Le vert pour le green. Le bleu pour le ciel qui renvoie en miroir la trajectoire des balles blanches. Aériennes ou terre à terre, selon le coup. Rarement imprévisibles lorsque l’on a le niveau de Pascal Grizot. Lui qui porte, avec une rare simplicité, des casquettes pour le moins prestigieuses. Élu à la fédération française de golf, capitaine des équipes de France, président du comité Ryder Cup pour la France en 2018. Une manifestation qui témoigne avec panache qu’un sport-loisir peut aussi être une compétition sportive au plus haut niveau d’excellence. À Paris, le week-end dernier, il a répondu à l’invitation de Vanina Pieri, la présidente de l’ATC. Et a fait un détour par le stand de l’Agence, à la Courneuve. Rencontre avec un pratiquant au long cours. D’une gentillesse toute naturelle. Et qui lève haut le club lorsqu’il s’agit de parler d’une de ses raisons de vivre. Interview paisible avec un homme convaincu que si l’on passe par des projets structurants, la guerre du golf n’aura pas lieu.Source et suite de l’article
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