(FRANCE 3 CORSE) Deux mois de prison avec sursis ont été requis contre le chef d’entreprise, et 4 à 5 mois ave sursis contre les gendarmes mobiles, ce sont les réquisitions prononcées lors du procès des violences à la préfecture de Haute-Corse en juillet dernier.
ans le procès des deux gendarmes mobiles et d’un chef d’entreprise devant le tribunal correctionnel de Bastia (Haute-Corse) pour des faits de violences lors d’une manifestation de socio-professionnels à la préfecture de Haute-Corse en juillet 2014, les réquisitions sont tombées : deux mois de prison avec sursis à l’encontre du chef d’entreprise, et 4 à 5 mois avec sursis à l’encontre des gendarmes mobiles.
Dans cette affaire, deux gendarmes mobiles étaient poursuivis pour « violence par personne dépositaire de l’autorité publique » et « violence aggravée ». Dans les deux cas les faits avaient été suivis par des ITT de huit jours. Un chef d’entreprise comparaissait également pour « outrage à une personne dépositaire de l’autorité publique » et « rébellion en réunion ».