Si, en tant que nationalistes, nous ne pouvons qu’être satisfaits de la fin de la monnaie ‘‘nationale’’ française pour toutes ses faiblesses, bien plus nombreuses que celles du jeune euro, nous pouvons aussi nous réjouir de la fin d’un règne, comme le titre le sous-entend. Le prochain, celui de l’euro, ne garantit rien, mais le précédent, celui du franc, était à abattre.
Le franc n’était pas la panacée !
Le franc est une vieille monnaie et le comparer à une jeune monnaie comme l’euro est une opération délicate. Que l’on remonte au franc germinal (1803), au franc Pointcarré (1928) ou au nouveau franc (1958), l’histoire de cette monnaie est marquée par les intérêts politiques d’un Etat centraliste et jacobin.
Comment les nationalistes peuvent-ils -ne serait-ce qu’en pensée comme certains le disent- imaginer revenir à cette monnaie qui flatte l’égo de ceux que nous combattons politiquement ? Sa fin est autant une victoire contre tout ce qui rappelle le pouvoir central français que la réussite de la construction de quelque chose ensemble avec les autres nations européennes, soyons-en fiers !
Suite et source de l’article :
http://pnc-ghjuventu.over-blog.com/article-le-franc-est-mort-vive-l-euro-partie-1-2-72085710.html
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