« Rappelez-vous, le 16 avril 2014, à la veille des élections des conseillers municipaux et communautaires, nous lisions les propos tenus par nos adversaires, fortement hostiles au principe d’un partage communautaire du pouvoir, qui étaient les suivants :
« On s’agite dans notre bassin de « vie » sur fond de présidence de la CCBVIR ….au point de prendre le risque d’un basculement de l’institution. On entend parler ci et là de présidence « tournante » par des édiles …. qui ne sont apparemment pas au fait de ce qu’autorise le législateur et de ce que permet le juge administratif. Tourner le dos à Hyacinthe Mattei c’est mettre en péril le programme de développement prévue pour les années à venir »
Une présidence tournante impossible ? Comme nous vous l’annoncions, un contrat moral a été conclu au sein de la CCBVIR afin que différentes communes puissent à tour de rôle en exercer la présidence dans un esprit solidaire et en toute sérénité.Les conseillers communautaires ont validé et se sont félicités de ce nouveau mode de gouvernance collégiale, à l’exception des élus de Monticello !
Risque d’un basculement de l’institution ? Aujourd’hui, l’institution se porte très bien, c’est un lieu d’échanges, de travail où se développent de nombreuses actions et projets . Dans cette institution au fonctionnement démocratique, un bureau composé de différents élus joue un rôle central, des commissions de travail (9 au total !) se réunissent fréquemment et en toute transparence.
Mise en péril du programme de développement ? Il suffit de se rendre sur la page http://www.ccbir.fr/comptes-rendus.aspx pour observer les nombreuses décisions prises sur les dossiers logements sociaux, déchetterie, activités périscolaires, équipement, travaux d’AEP, voirie, contrat local de santé, entretien des sentiers. En parallèle, à noter la réorganisation du service des déchets, l’implication au sein de l’Office de Tourisme, l’élaboration de pistes de réflexion autour de la mise en œuvre d’un transport intercommunal,, de la réhabilitation du couvent des sœurs Marie, de la gestion de l’eau, …
Dans la langage de la voyance, celui qui abuse de la crédulité publique est accusé de charlatanisme. Mais « u balaninu, untu e finu » a prouvé sa capacité à distinguer … le vrai du faux ! »