(CorseMatin) Nous n’écrirons pas ici que le cas de Marcellu Lepidi-Acquaviva a été cerné au premier regard. D’aucuns le présentent comme un grand timide, réservé et humble.
Voilà comment on envisage le personnage. Un artiste, en somme. Son Mac Book sous le bras, il débarque dans un café du centre-ville de Calvi. « Un caffè per piacè, sta mane ferà prò. » La veille au soir, il était à Casamozza pour une expo. Il n’arrête pas. Il œuvre discrètement un peu partout dans l’île.
Graphiste, dessinateur ou peintre ? Un peu des trois. À vrai dire, il a toujours eu un pinceau ou un crayon entre les doigts. Le dessin, il est tombé dedans quand il était petit, et il n’en est plus sorti. « Au lycée, mes profs voulaient m’orienter vers une formation spécialisée sur le Continent. Il faut dire que je battais un peu de l’aile à l’école… » Du coup, il s’est arrêté au bac. Et il n’a jamais mis les pieds à la fac. Encore moins dans la fameuse école d’art. « J’étais jeune, j’ai préféré rester à Corte avec les potes », confie ce Cortenais de souche.
Insomnies artistiques
Aujourd’hui, à bientôt trente ans, il le regrette un peu. « J’ai quelques lacunes au niveau technique ».
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