(CorseMatin) La décision du tribunal administratif relative au scrutin municipal d’Ajaccio n’est pas restée sans effets sur l’instance communautaire, au sein de laquelle la commune majoritaire n’est, de fait, plus représentée
Un inévitable « effet domino ». La décision d’annuler l’élection municipale d’Ajaccio, prononcée par le tribunal administratif de Bastia le 23 octobre dernier, a également eu une incidence logique sur le fonctionnement de la communauté d’agglomération du pays ajaccien (Capa).
En démissionnant immédiatement de son mandat de maire, Laurent Marcangeli a aussi, de fait, quitté ses fonctions de président de l’instance communautaire. Une mécanique identique pour les vingt élus communautaires issus de sa liste, par ailleurs conseillers municipaux démissionnaires. Tandis que les sept élus communautaires issus de l’opposition municipale d’Ajaccio (José Filippi pour les nationalistes et six pour la liste portée par Simon Renucci), sans avoir formellement démissionné, ont pour leur part perdu leurs sièges une fois l’annulation définitivement actée.
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