Avec l’ambition de faire bouger les lignes, Jean-Martin Mondoloni, à la tête d’« Une Nouvelle Corse », pose les jalons de sa future présence aux élections territoriales, en s’adressant « directement aux Corses », lassés des débats stériles et qui souhaitent que la classe politique s’attaque aux vrais problèmes de l’île
Vous entreprenez un retour sur le devant de la scène politique. Pourquoi si tôt – ou si tard ? Quels sont vos objectifs ?
Il n’est jamais trot tôt pour préparer une échéance aussi capitale que l’élection territoriale. Du reste ma candidature part de très loin : je rappelle qu’« Une Nouvelle Corse » a été fondée en 2010, comme mouvement politique destiné à la reconquête du pouvoir régional.
« Les grilles de lecture parisiennes qu’on devrait appliquer partout ne fonctionnent plus »
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