(Julien Pernici – Alta Frequenza) – Gilles Simeoni, répondant à l’opposition, a estimé que ce léger changement n’altérait en rien la capacité de la ville de choisir l’une ou l’autre solution, ces parkings n’étant pas contractuellement obligatoires dans leur définition première dans le cadre de la convention avec l’état.
Devant la décision du maire de mettre au vote la seconde mouture, selon l’opposition pas reçue par tout le monde, l’opposition a décidé de ne pas voter et de quitter la salle, non sans un accrochage verbal entre des conseillers d’opposition et une partie du public à qui il était reproché quelques remarques chuchotées assez fort pour être entendues pendant le conseil.
Pour Gilles Simeoni, il s’agit d’un évènement monté de toutes pièces venant selon lui d’une opposition qui ne peut se reposer que sur cette façon de faire pour s’opposer.
On écoute le maire de Bastia sur ALTA FREQUENZA (ci-dessous)
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