Elles sont au centre d’affaires qui défraient la chronique. Soit parce que l’État les brûle, un 19 avril 1999, alors qu’elles n’ont rien à se reprocher. Soit parce qu’elles occupent illégalement le domaine public maritime.
Et que depuis des années, on les a laissées s’installer, puis s’implanter, jusqu’à s’enraciner. Des paillotes, on dit qu’elles rapportent de l’argent. Rien de mal à cela lorsque les dits établissements de plage respectent la fameuse AOT ou autorisation d’occupation temporaire. On sait également qu’elles sont devenues un enjeu phénoménal. Au point qu’une poignée de paillotiers n’hésite pas à se mettre hors-la-loi, quitte à tomber sous le couperet d’astreintes phénoménales. Des sommes qui remplissent néanmoins les caisses de l’État, rappellent certains qui pointent du doigt l’intérêt pour ce dernier de laisser faire.
Le 29 août dernier, un incident relance les braises de la polémique. Plutôt étouffée. Ce jour-là, une équipe de France 3 Corse et un contrôleur de la direction départementale des territoires et de la mer se font agresser à Coti-Chiavari. L’agression déclenche un tollé.
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