Femu a Corsica (Faisons la Corse) a rassemblé environ 600 personnes samedi à l’université Pascal Paoli. Les nationalistes corses modérés ont affirmé, samedi à Corte (Haute-Corse), leur volonté de prendre le pouvoir lors des élections territoriales de 2014 en dialoguant dès maintenant avec des représentants de toutes les formations politiques insulaires. « Nous allons rencontrer dans les prochaines semaines, région par région, toutes les forces de progrès qui aspirent à une rupture claire avec le passé et pour une ère nouvelle pour la Corse », a lancé l’un des dirigeants de la coalition Femu a Corsica (Faisons la Corse), Gilles Simeoni, devant environ 600 personnes réunies à l’université Pascal Paoli.
Dix des onze élus de Femu a Corsica à l’Assemblée de Corse, qui en compte 54, avaient auparavant fait, lors de cette rentrée politique de leur mouvement, le bilan de l’action de leur groupe depuis les territoriales de 2010. Les nationalistes avaient alors recueilli près de 36% des voix (25% pour Femu et près de 11% pour les indépendantistes de Corsica Libera). M. Simeoni et l’autre dirigeant de la coalition, Jean-Christophe Angelini, ont accepté la main tendue en août par Corsica Libera (4 élus à l’Assemblée) en vue d’être majoritaires en 2014. « Nous sommes prêts à dialoguer depuis plusieurs semaines. Dans 95% des cas, nous votons ensemble à l’Assemblée, dans le respect absolu de la diversité et de la pluralité », a déclaré M. Angelini. Les deux dirigeants ont également souligné l’importance des échéances électorales françaises de 2012 (présidentielle et législatives) pour la Corse.
Pour M. Simeoni, « il faudra que le vainqueur de la présidentielle prenne en compte la notion de peuple corse et permette la définition d’une véritable solution politique, car les idées que nous étions, hier, seuls à porter, sont aujourd’hui celles d’une majorité de Corses. » S’adressant implicitement à la majorité de gauche à l’Assemblée de Corse, Jean-Christophe Angelini a souligné que « le temps est fini où les nationalistes étaient cantonnés dans un coin du ring ». « Nous sommes aujourd’hui un courant politique incontournable et notre vocation est d’exercer les responsabilités », a-t-il conclu.
Les nationalistes corses modérés ont affirmé, samedi à Corte (Haute-Corse), leur volonté de prendre le pouvoir lors des élections territoriales de 2014 en dialoguant dès maintenant avec des représentants de toutes les formations politiques insulaires. « Nous allons rencontrer dans les prochaines semaines, région par région, toutes les forces de progrès qui aspirent à une rupture claire avec le passé et pour une ère nouvelle pour la Corse », a lancé l’un des dirigeants de la coalition Femu a Corsica (Faisons la Corse), Gilles Simeoni, devant environ 600 personnes réunies à l’université Pascal Paoli. Dix des onze élus de Femu a Corsica à l’Assemblée de Corse, qui en compte 54, avaient auparavant fait, lors de cette rentrée politique de leur mouvement, le bilan de l’action de leur groupe depuis les territoriales de 2010. Les nationalistes avaient alors recueilli près de 36% des voix (25% pour Femu et près de 11% pour les indépendantistes de Corsica Libera). M. Simeoni et l’autre dirigeant de la coalition, Jean-Christophe Angelini, ont accepté la main tendue en août par Corsica Libera (4 élus à l’Assemblée) en vue d’être majoritaires en 2014. « Nous sommes prêts à dialoguer depuis plusieurs semaines. Dans 95% des cas, nous votons ensemble à l’Assemblée, dans le respect absolu de la diversité et de la pluralité », a déclaré M. Angelini. Les deux dirigeants ont également souligné l’importance des échéances électorales françaises de 2012 (présidentielle et législatives) pour la Corse. Pour M. Simeoni, « il faudra que le vainqueur de la présidentielle prenne en compte la notion de peuple corse et permette la définition d’une véritable solution politique, car les idées que nous étions, hier, seuls à porter, sont aujourd’hui celles d’une majorité de Corses. » S’adressant implicitement à la majorité de gauche à l’Assemblée de Corse, Jean-Christophe Angelini a souligné que « le temps est fini où les nationalistes étaient cantonnés dans un coin du ring ». « Nous sommes aujourd’hui un courant politique incontournable et notre vocation est d’exercer les responsabilités », a-t-il conclu. (source site france 3 corse)
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