La communication du FLNC annonçant le dépôt des armes et une sortie progressive de la clandestinité a entraîné des réactions de tous bords politiques. L’État n’a pas encore répondu à cette « main tendue »
Le FLNC dépose les armes et s’invite dans le débat démocratique. Si une grande partie de la Corse s’attendait à une communication « plus explosive » des clandestins au lendemain des propos fermes des représentants de l’État, le FLNC choisit la voie de l’apaisement, de l’ouverture.
Coofficialité, fiscalité, statut de résident, révision constitutionnelle, arrêté Miot, compagnie maritime régionale, évolution des institutions, question des prisonniers politiques… A ce jour, rien n’est réglé, tout oppose Paris à la Corse et contre toute attente, le FLNC « historique » n’apporte pas de réponse sur le terrain militaire, mais pratique la politique de la main tendue vers l’État.
L’initiative est surprenante, mais pertinente et les réactions politiques sont majoritairement positives. De nombreux élus sont soulagés. Ils espèrent simplement que cette décision ne provoquera pas l’émergence de nouveaux groupuscules.
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