Le président du PRG a évoqué dans Cuntrastu les difficultés de son parti, l’affaire pour laquelle il a été jugé mais aussi les questions liées à la réforme constitutionnelle
Il faut toujours se méfier de l’eau qui dort. En politique, il en est parfois de même. Sous ces airs flegmatiques, le président du PRG de Haute-Corse a livré hier soir, une analyse sans concessions de la situation politique insulaire et de celle de son parti. Sur le plateau de l’émission télévisée Cuntrastu, Alex Alessandrini n’a pas mis de gants pour l’interview qu’il a accordée à Jean-Vitus Albertini (France 3 Corse-Via Stella), Patrick Vinciguerra (Rcfm) et Hélène Romani (Corse-Matin).
Le président du PRG a commenté en préambule, la visite de Bernard Cazeneuve qui a, selon lui « sifflé la fin de la récré pour l’assemblée de Corse ».
Il estime en effet que « le problème foncier ne peut être résolu par ce statut de résident. On s’est embarqué dans des chimères constitutionnelles alors que les Corses attendent surtout un logement et un emploi ».
Alex Alessandrini va même jusqu’à évoquer un « enfumage de l’opinion puisque c’est le programme de Jean-Guy Talamoni qui a été voté à l’assemblée de Corse, pas celui de la gauche. Les nationalistes vont se réveiller avec la gueule de bois. Paul Giacobbi après tout connaît la limite constitutionnelle de ces votes ».
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