En ce temps-là, les listes de candidats aux municipales affichaient encore leur coloration politique qu’elles n’ont plus aujourd’hui, et en 1994, le camp libéral qui constituait alors la majorité municipale, se fracturait. Ce que l’on appelait « la crise municipale » s’était révélée quelques mois auparavant, notamment à travers le divorce entre le maire d’alors, le docteur Jean-Charles Colonna, et celui qui était son adjoint… Tony Sindali.
Celui qui se prépare à briguer à nouveau les suffrages avait conduit cette année-là sa propre liste, pour la première fois aux municipales de Corte. Lors de ce scrutin de 1994, le docteur Colonna l’emporta largement, ratant même de quelques voix l’élection au premier tour. Il retrouva son siège l’année suivante, lors du renouvellement général. L’heure de Tony Sindali arriva en 2001.
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